1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (15)


    Datte: 29/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    BDSM et sextoys, suite. — Sara ! Surpris, je me retournai ; je cherchais la fameuse Sara, mais il n’y avait personne. J’interrogeai ma sœur du regard. — Oui, je vais t’appeler Sara ; c’est un joli prénom, tu ne trouves pas ? — Oui, Maîtresse, comme il vous plaira. — Parfait. Alors à la tienne, Sara ! Nous trinquâmes et je bus une gorgé de ce liquide à l’odeur piquante : je reconnus du whisky ; je suis peu habitué à ce genre de breuvage dont les effets peuvent devenir rapidement désastreux sur mon organisme. En descendant dans mes entrailles, le liquide me provoqua une intense chaleur ; une bouffée remonta de mon estomac jusqu’à mes oreilles : j’avais maintenant aussi chaud à l’intérieur qu’à l’extérieur de mon corps. Pourquoi m’avait-elle donné cet alcool ? Peut-être pour me donner du courage pour la suite ? Je n’en savais rien. Elle m’ordonna d’aller chercher de quoi grignoter pour l’apéro, et m’indiqua qu’après nous mangerions. Quoi ? Je n’en savais rien. Avant, elle voulut ajouter une touche à ma tenue, prétextant qu’il manquait quelque chose. Elle s’absenta un instant puis revint, une perruque blonde à la main qu’elle me posa sur la tête. S’ensuivit une mise en ordre soignée ; j’étais prêt, ou plutôt prête. Il fallut vérifier si la cage et le plug étaient bien restés à leur place ; que le string était bien enfilé, avec les chaînettes bien mises, ne faisant pas des huit. Ensuite j’eus le droit de m’asseoir, les fesses sur le bord d’une chaise pour que le plug me rentre ...
    ... encore plus dans le cul. Ma bite fatiguée de forcer le métal avait déclaré forfait ; la cage et mes baloches pendouillaient lamentablement et se balançaient au moindre mouvement, ce qui avait tendance à faire rire ma maîtresse. Je devais lui faire la conversation : raconter mon ressenti sur ce qui venait de se passer, et insister sur les moindres détails. Justine, assise en tailleur sur le fauteuil d’en face, commença à se toucher la chatte. Je devais raconter et contempler le spectacle ; plus mon récit était croustillant, plus elle se touchait. Ma bite reprit de la vigueur mais, toujours emprisonnée dans sa cage, elle me faisait mal. Je suppliai ma maîtresse : — S’il vous plaît, Maîtresse, pouvez-vous libérer mon sexe de sa cage ? — Non, pas maintenant. Il te fait mal, je suppose ; ce n’est pas grave : il faut souffrir pour être belle, tu le sais ? — Oui, Maîtresse, comme vous voulez. Je vais attendre, alors. Je dus garder cet engin de torture ; putain, qu’il me faisait mal, ce con ! Seule solution : ne pas penser au cul, sauf que raconter ça sans bander m’était impossible. Je revivais ces instants avec un plaisir indescriptible, et c’est résigné que je continuai mon récit. Ma frangine s’en donnait à cœur-joie, se fourrant les doigts dans la moule et se l’astiquant. La salope, elle se tripotait partout ! Ses tétons pointaient à travers le paréo et elle se branlait comme une malade, gémissait, gloussait comme une oie lorsqu’elle fut traversée par un orgasme si puissant qu’elle ...
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