1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (15)


    Datte: 29/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... force. Justine m’ordonna d’éjaculer sur l’italienne. Surexcité, mais inconscient des conséquences de ce que j’étais en train de faire, j’éjaculai sur le fromage râpé et répandis liquide gluant sur la galette encore fumante. Justine était aux anges. Entre deux gloussements, elle me dit : — Mange, ça va être froid ; et continue à te branler : je veux goûter une pizza au sperme, alors il faut que tu emplisses cette part. « Pas de problèmes, ma belle : si tu veux goûter, je vais t’en donner ! » pensai-je. Entre deux bouchées, je continuais à m’agiter le dard, persuadé que je travaillais pour le plaisir de ma maîtresse. J’en mis une seconde rasade, et tant qu’à faire j’étalai consciencieusement le liquide avec mon gland ; une sorte de vengeance. « Tu vas bouffer mon jus que j’ai étalé avec ma bite, ma salope ! » Je jubilais intérieurement. Puis, prétextant qu’il n’y en avait pas assez, elle décida de faire une pose et me retira ces maudites pinces qui me martyrisaient les tétons. J’avais terminé ma part de pizza quand elle se leva et désigna la part de pizza restante : — J’en ai pas assez, il faut en rajouter. Allez, vas-y, à moins que tu veuilles que je le fasse ? Qu’elle me le fasse ? Un rêve... Bien sûr qu’elle pouvait me le faire ! Sans même attendre ma réponse, elle attrapa mon engin et le branla avec une énergie telle que je sentais déjà la poussée dans mes testicules. Pour augmenter la production, je décidai de me titiller les tétons, et ça, ça marche vachement bien ! ...
    ... Je lui envoyai une telle quantité de purée sur la galette au fromage qu’elle en fut entièrement recouverte. J’étais fier de moi, j’avais le sourire satisfait au coin des lèvres. Justine alla se rasseoir, les jambes grandes ouvertes – comme sa moule, d’ailleurs – et me dit de sa voix suave : — Je suis désolée, Sara, mais je n’ai plus faim. Alors, comme ici on ne jette rien, tu vas la manger ; tu vas voir comme c’est bon, une pizza à la compote de gland ! Et si tu ne veux pas, je te laisse le gode dans ton cul jusqu’à demain. Comme j’en avais plein le cul de ce gode, je me résignai à avaler le reste de ma pizza. L’odeur était horrible et le goût très étrange ; j’ai dû boire deux verres de rosé pour faire passer ce truc immonde. Ma maîtresse savourait ce moment. Durant tout ce temps, elle se masturbait et avait même joui. Elle gloussait, miaulait, s’agitait dans tous les sens et lâcha un grand : — Ouiiiii... Oh, putain, que c’est bon... Une fois le calme revenu, elle m’enleva le gode ; j’avais la sensation d’avoir le trou du cul grand ouvert. Elle me dit se sentir fatiguée de cette journée de folie ; elle avait parfaitement raison, car moi aussi. Après avoir mis de l’ordre, elle me débarrassa de mon sort de gonzesse et je repris mon rôle de mec. Après m’avoir enduit le dos et les fesses de pommade, nous nous sommes couchés. Je fus harcelé de questions ; elle voulait tout savoir : comment j’avais trouvé ça, qu’allais-je lui faire ? Je lui répondis simplement qu’elle aurait des ...