1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (15)


    Datte: 29/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pas le reste. Juste pour le motiver : il fallait qu’il revienne, j’avais une petite idée en tête... Après un petit signe de la main au livreur – Justine avait le nez collé à la vitre de la cuisine – je retournai à l’intérieur avec mes deux pizzas. — Alors, Sara, tu as fait la causette avec le livreur ? — Il m’a dragué. — Cool ! Tu aurais dû le faire entrer et vous auriez pu vous amuser. — Il ne pouvait pas : il n’a pas terminé ses livraisons. — Dommage... Comme tu as été docile, je vais te faire une faveur. — Merci, Maîtresse, vous êtes trop bonne. — OK, n’en fais pas trop non plus : je pourrais changer d’avis, me dit-elle en se levant. — Oui, Maîtresse. — Va prendre ce qu’il faut pour manger les pizzas, et à boire aussi ; je prendrais bien un peu de rosé. Et attends-moi pour commencer, je reviens. — Bien, Maîtresse. — J’oubliais : tu enlèveras la robe et tu m’attendras à genoux devant la table basse, ta pizza devant toi. Avant qu’elle ne disparaisse, je pus admirer en contre-jour sa croupe et sa silhouette à travers le paréo. Je m’exécutai et pris tout ce qu’il fallait : couteaux, roulette à pizza, deux verres (un pour moi et un pour elle) et le rosé ; un petit rosé de Provence, un nectar ! Quand elle revint, j’avais adopté la tenue et la position demandées ; j’attendais sagement, les mains croisées sur les fesses encore chaudes. Elle s’approcha de moi, avec son sourire toujours aussi pervers, et me dit : — Coupe ta pizza en quatre et je t’enlève la cage. Ce n’était que du ...
    ... bonheur : j’allais être enfin libre ! Elle tint sa promesse et libéra mon engin que je regardai se déployer tranquillement. Le fil de fer avait marqué ma peau, mais je le sentais revivre ; une érection commençait à revenir doucement. Le mouvement s’accéléra à une vitesse impressionnante quand je sentis la morsure des pinces à seins et leur poids tirer mes tétons vers le bas. Je bandais à nouveau ; que cela faisait du bien ! Je fermai les yeux pour mieux savourer cet instant. — Lèche ! gronda-t-elle. Elle était debout, sa chatte à hauteur de mon nez ; je sentais son odeur, ce mélange de sueur et de cyprine était presque enivrant. « Lèche ! » m’avait-elle dit... Tu parles, en guise de mise en bouche, je n’allais pas m’en priver ! Je lapai son jus telle une bête ; je ne ressemblais pas à autre chose : un fauve qui n’a pas vu de femelle depuis une éternité. Je fis un bond : le gode anal venait de se mettre en route. Tout vibrait en moi, de mon trou du cul à mon ventre en passant par mes couilles ; un immense plaisir montait en moi et devenait de plus en plus fort. Il fallait que je me branle, ce supplice était horrible. Justine avait pris place en face de moi dans un fauteuil, assise en tailleur comme d’habitude ; une part de pizza dans une main, et l’autre jouait avec son clito. — Branle-toi, maintenant ! À genoux devant la table basse, j’avais la queue juste au-dessus de ma part de pizza. Je pris ma bite en main. Oh, putain, que cela faisait du bien ! Je mastiquais le jonc avec ...