1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (15)


    Datte: 29/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en fut toute secouée comme une poupée de chiffon puis, une fois remise de ses émotions, elle me dit : — Tu racontes admirablement bien, je te félicite. Je vais t’accorder une faveur, si tu veux bien. Tu parles que j’en voulais, de sa faveur ! Elle allait me libérer et aussi me laisser me branler car j’avais les couilles pleines. La faveur ? Tu parles... elle m’autorisa à choisir la pizza que je mangerais ce soir. Comble de bonheur, ce sera un une pizza de pizzaïolo livrée à domicile. Elle prit son téléphone et numérota. — Allô, bonsoir. — ... — Je voudrais une regina et une calzone, s’il vous plaît. — ... — 2 Grand’ rue. — ... — Vous sonnez ; ma domestique ira les prendre. — ... — Merci, à tout à l’heure, au revoir. Un flash traversa ma tête : « Ma domestique ira les prendre. » ! Ce n’est pas elle qui va y aller ? Je vais devoir sortir récupérer les pizzas dans cette tenue, le comble ! — Sara, tu iras chercher les pizzas tout à l’heure ; tâche d’être à la hauteur. — Et si je refuse ? — Si tu refuses ? Tu n’a pas de cervelle, ma pauvre Sara ! Tu iras quand même, et à poil, quitte à ce que je te tire avec la laisse s’il le faut. Le message était clair : il ne fallait pas que je fasse le malin. Résigné, je me préparai psychologiquement à me retrouver nez à nez avec le livreur de pizzas. Quand la sonnerie du portail se fit entendre, je commençai à flipper : qui allais-je trouver en face de moi ? Mon cœur tapait à tout rompre dans ma poitrine. — Allez, prends le porte-monnaie et ...
    ... vas-y ! Je sortis et parcourus l’allée qui mène au portail ; il faisait presque nuit. J’ouvris le portail. Je suis persuadé que moi et ma tenue firent un effet surprenant sur le livreur : il écarquilla les yeux, me dévisagea, me toisa de la tête aux pieds et me dit, d’une voix gênée : — Bonsoir... je vous apporte les pizzas. — Bonsoir, je vous dois ? lui dis-je avec la plus grande désinvolture possible. — Mais... je... vous... Enfin... fille ? Devant son embarras et son regard troublé, je repris la situation en main. — Qu’y a-t-il, vous avez des problèmes ? — Non, non, mais c’est vous, je n’ai jamais vu une servante dans cette tenue ; vous êtes vraiment canon ! — Merci. Je vous dois combien ? — Euh... vingt euros. Je m’excuse, mais je pourrais vous revoir ? Enfin... — Tu ne serais pas en train de me draguer, par hasard ? Il baissa le front, piteux, et je continuai : — C’est mon cul que tu veux, hein, c’est ça ? Bon, OK. Ce soir, je ne peux pas, mais demain, si tu es libre, je suis d’accord. — Oh oui ! Demain, je termine à midi et après je suis libre. — Très bien, moi aussi je suis libre. Voilà ce qu’on va faire : demain la patronne va commander une ou deux pizzas, et tu n’auras qu’à te débrouiller pour les livrer. Ça te va ? — Super ! Et après ? — Tu auras une belle surprise... Allez, à demain. Je fis volontairement tomber le porte-monnaie et m’accroupis pour le ramasser, laissant le bas de la robe remonter suffisamment haut sur ma cuisse pour qu’il puisse voir ma jambe, mais ...