L'amour d'un père (1)
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... pensais pas que j’aurais la chance de pouvoir revivre une chose pareille un jour. Il n’y a qu’avec ma fille que ce genre de chose puisse être possible ; je m’en rends compte à présent. Je ne pourrais jamais aimer personne d’autre de cette manière, ni être aimé. Nous nous apaisons enfin tous les deux. Je m’écroule à ses côtés. Je ne me suis pas senti aussi bien depuis des années. Elle se relève partiellement en ouvrant les cuisses. Elle passe une main sur sa chatte tandis que mon jus coule sur ses draps. — Waow ! Je n’arrive pas à y croire ! Je suis remplie du sperme de mon papa ! — Je suis désolé, ma puce. Je ne trouvais rien d’autre à dire. — Il ne faut pas. C’est ce que je voulais. Tu m’as fais tellement du bien. — Tu as aimé ? — Oui, beaucoup. J’espère qu’on... qu’on recommencera. — Quand tu voudras. Elle me lance un sourire puis vient se blottir contre moi. Je l’enserre affectueusement. Nous restons ainsi pendant au moins une heure, sans rien nous dire, juste à apprécier la présence l’un de l’autre, avant de nous séparer. Il ne nous faut pas longtemps pour remettre ça. Dès le lendemain, elle vient me voir alors que sa sœur n’est pas là, et je la reprends dans sa chambre. Notre baise est plus intense. La gêne et l’embarra de la première fois ont disparu, et cela rend la chose encore meilleure. Je la saute en levrette. Elle reste à quatre pattes devant moi, totalement offerte, me suppliant que je la besogne. Si belle et si femme. Je suis définitivement amoureux. Elle ...
... n’est pas avare de mots durant l’acte, et ses aveux me touchent profondément : — Papa ! Je suis si heureuse que tu me fasses l’amour ! — Moi aussi, ma chérie. — J’avais peur que tu ne m’aimes pas. — Bien sûr que je t’aime, ma chérie ! Tu le sais ! — Oui mais... j’avais peur que tu ne m’aime pas... comme ça... — Je t’aime si fort que je ne trouve pas de meilleure façon que de te l’exprimer ainsi... — Oh, papa, moi aussi je t’aime. C’est pour toi que j’ai largué mon ancien copain. — Je... je ne comprends pas. — Il n’était pas toi. Il m’a fait réaliser que c’est toi que j’aimais. Je te voulais toi, rien que toi. Je ne veux personne d’autre. J’aurais été si malheureuse si tu m’avais refusée. — Oooh, mon ange. Je suis là. Rien que pour toi. — Alors fais le moi sentir, papa ! Fais-moi sentir tienne ! Je la prends encore plus fort jusqu’à la faire jouir, puis je me lâche et éjacule à mon tour dans sa chatte. Les jours passent, et nos ébats se multiplient. Elle est insatiable ; ce qui me convient très bien vu que je le suis tout autant après ma trop longue période de disette. Malgré que nous devions nous cacher d’Angela, nous prenons de plus en plus de risques. Nous ne baisons plus seulement dans sa chambre, mais aussi dans la mienne, ou dans la salle de bain, et même une fois aux toilettes. Elle se découvre elle-même un côté coquin. Je ne sais pas si c’est seulement parce qu’elle n’avait pas beaucoup pratiqué avant, ou si c’est parce qu’elle habite avec son amant, ou si c’est seulement ...