1. Édouard et Éloi (2)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Erotique,

    ... toujours alors que celle que je portais s’envolait au passage des doigts du jeune. Plus rien n’entravait la marche inexorable du plaisir et je frissonnais sous les attouchements maladroits, mais si terriblement excitants. Il soupirait et grognait, sans doute aussi surpris de mon peu de défense. Et quand il me souleva pour me coller le derrière sur le plan de travail à côté de l’évier, je me savais déjà perdue depuis longtemps. Il ne s’embarrassait d’aucun préjugé. Juste heureux de la bonne aubaine, et me surprenait par sa désarmante naïveté. Mais celle-là était visiblement très efficace. Il se précipitait pour me pénétrer et ce fut à cet instant-là que je décidai de canaliser cette fougue. Mes mains se posèrent alors sur le sommet de sa caboche et appuyaient doucement sur celle-ci. Il comprenait tout de suite le message et pliait les genoux pour venir cette fois boire à la source largement ouverte par mes cuisses, elles aussi écartées au maximum. Ses pattes venaient alors soutenir mes jambes, et pour finir les faisaient passer par-dessus ses épaules. La langue qui entrait en contact avec ma peau en général et ma chatte en particulier me faisait alors frémir et presque hurler de bonheur. Enhardi par ce cri, Éloi alors s’activait et me léchait avec ardeur. La pointe rose qui allait et venait passant et repassant dans les plis de mes grandes lèvres me faisait sursauter à chaque cajolerie. L’exercice durait depuis longtemps et je ne m’en lassais pas. J’en oubliais finalement de ...
    ... continuer à canaliser sa fougue et je ne réalisais la venue de sa bite en moi qu’après un premier aller et retour qui me tirait des plaintes. Pas des cris de douleur, non ! Je hurlais vraiment, et sans doute que mes gémissements appuyés le rendaient encore plus sauvage. Il me pistonnait de plus en plus vite, avec toute la violence de sa jeunesse. Je haletais sous ses coups de bassins aux amplitudes de plus en plus soutenues. Force m’était de reconnaître que cette fois, le jeune homme qui naviguait librement de toute la longueur de sa queue dans ma chatte me faisait un effet que je n’avais pas retrouvé chez son père. Et je ne me souvenais pas d’en avoir connu de tels chez mon ex-mari non plus. Alors les yeux clos, les sens tous en éveil, je sentais monter au fond de mon ventre, comme sorti de nulle part, une délivrance qui me rendait folle. Puis Éloi se calmait, sans pour autant cesser ses mouvements. Il se contenait et ne débandait pas le moins du monde. Du reste, ses mains avaient repris le chemin de ma poitrine. Un pur bonheur que cette cavalcade sans fin et les doigts sans violence me pétrissaient les seins, s’attaquant sans relâche aux tétons enflés de ceux-ci. Pincés, étirés, eux aussi m’apportaient un lot de sensations très voisin de l’orgasme. Son sexe restait fiché dans mon con et s’il remuait moins vite, les effets en restaient aussi dévastateurs sur la montée de mon plaisir. Curieusement, le jeune homme avait trouvé une sorte de créneau qui me maintenait en haleine, ...
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