1. Cendrillon à la plage


    Datte: 06/09/2019, Catégories: fhhh, fplusag, jeunes, couplus, extracon, profélève, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, journal,

    Résumé de l’épisode précédent : Nathalie, ma très belle et chaste femme, de dix ans ma cadette (27 ans), enseignante, m’avoue pour la première fois son trouble pour un collègue, Christian, sensible à ses charmes. Loin de m’en formaliser, je prends plaisir à cet aveu, et j’amène ma femme à imaginer qu’en me faisant l’amour, c’est à Christian qu’elle se donne. Puis, je lui demande d’ « allumer » Christian le dernier jour de classe, ce qu’elle fait avec une délicieuse bonne volonté, et pour notre plus grande jouissance. Troisième étape : nous décidons d’inviter Christian à nous rejoindre pour nos vacances en Corse. L’épisode commence en Corse, alors que Christian n’est pas encore arrivé. « Journal de Corse, 9 juillet. Huitième jour de notre arrivée. Christian devrait arriver demain. Le soleil de Corse, et les événements récents, ont magnifiquement épanoui la sensualité de Nathalie, plus appétissante que jamais. Jours fastes, véritable reverdie de notre couple : mon épouse si réservée affiche avec insolence son goût de la vie et son amour de la chair, à commencer par la sienne. Elle a, en quelques jours, pris un teint doré qui la rend ensorcelante. Il y a mieux. Pour la première fois de sa vie, Nathalie a consenti il y a trois jours à une épilation intégrale : son sexe jeune et nu, à moi seul réservé, a été un merveilleux cadeau offert à la renaissance de notre passion. Puis, il y a deux jours, nouvelle et inappréciable concession : elle a accepté de faire du monokini, ...
    ... laissant éclater aux yeux de tous les hommes la provocante jeunesse, la générosité arrogante de ses seins. J’aime observer en coin le regard des vacanciers lorsqu’elle s’allongeait sur sa serviette, leur muette expression d’envie lorsque, rituellement, je passais de la crème protectrice sur le corps luisant de ma femme, m’attardant sur les seins dont je sentais, sous ma pression, se raidir les pointes. Deux événements heureux ont déjà ponctué notre séjour. Il faut d’abord que je rappelle combien Nathalie est d’un caractère extrêmement pudique. Quand nous sommes à Paris et qu’elle se déshabille, elle n’oublie presque jamais de tirer au préalable les rideaux, pour éviter tout risque d’être vue. Il m’est arrivé bien souvent de le regretter, espérant qu’un petit moment de distraction donnerait à un voisin l’aubaine de surprendre ce jeune corps dans toute sa provocante beauté. Or, c’est ici, dans notre studio d’Ajaccio, que c’est arrivé. Soit que Nathalie, dépaysée, ait perdu ses réflexes de vigilance, soit que son inconscient se soit chargé d’oublier pour elle l’existence d’un vis-à-vis, toujours est-il qu’il y a deux jours, , vers minuit, Nathalie, s’est déshabillée toutes lumières allumées et tous volets ouverts. Elle n’avait pas vu que dans l’immeuble juste en face de chez nous, à moins d’une quinzaine de mètre, la fenêtre d’une chambre trahissait une présence. Un jeune homme d’une vingtaine d’année travaillait sur son écran d’ordinateur quand ma femme est arrivée… Cela ne m’a ...
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