Cendrillon à la plage
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
profélève,
fépilée,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
journal,
... gens qui, fait notable, ne quittaient jamais la plage avant nous. Nathalie se prélassait donc, exposant tout son corps et ses beaux seins luisants à la convoitise des trois garçons, qui n’en perdaient pas une miette. De la mer où j’étais plongé, je regardais ce spectacle et vis soudain que l’un d’entre eux, sous un prétexte sans doute quelconque, avait osé engager la conversation avec Nathalie. Celle-ci s’était, pour l’occasion, redressée et répondait, visiblement avec entrain et amabilité, aux questions des trois jeunes gens. Pour banale qu’elle puisse paraître à certains yeux, la situation constituait pour Nathalie un comble d’impudeur : c’est une chose de faire du monokini en profitant de l’anonymat de la foule, c’en est une autre que de parler, comme si de rien n’était, à trois inconnus de dix-huit ans à peine, en feignant (mais si mal…) d’ignorer qu’ils vous dévorent les seins des yeux. Car Nathalie, et c’est ce qui m’étonnait le plus de sa part, ne faisait rien pour dissimuler sa poitrine, ne fût-ce qu’en repliant les genoux ou en serrant les bras : au contraire, jambes dépliées, elle s’appuyait sur ses mains en tenant ses deux bras très en arrière, ce qui faisait de sa poitrine une véritable proue, digne de la Victoire de Samothrace…Pouvait-elle ignorer, ma Nathalie, non seulement les regards, mais aussi la voix troublée de ces jeunes gens ? Ne voyait-elle pas aussi bien que moi, qui étais revenu me sécher (ce qui n’était pas pour combler d’aise mes trois garçons : ...
... le mari, par définition, est toujours de trop), la bosse indécente qui déformait le slip de bain de ses trois interlocuteurs ? Tiens, tiens… « C’est amusant, chéri, ils ont deviné que j’étais prof, me dit-elle quand j’arrivai, et ils me demandaient quelques conseils pour leur orientation à l’université. Ils viennent de passer le bac. » Je saluai poliment, mais froidement, et serrai les mains qui m’étaient tendues : « Thomas …, Jean-Pierre et Silvio », me dit Nathalie, qui avait décidément bien vite appris les prénoms. Jean-Pierre était un grand brun, au torse large et aux cheveux courts (c’était, je l’appris plus tard, le seul Corse des trois, les deux autres étant parisiens) ; c’était incontestablement le plus viril du groupe. Les deux autres avaient quelque chose d’encore adolescent dans l’expression et dans le corps. Thomas était mince et roux ; Silvio était particulièrement beau, les traits de son visage étaient fins et sa longue chevelure brune, qui lui descendait jusqu’aux épaules, lui donnait une apparence très féminine. « Eh bien, enchanté… Je crois que nous allons avoir l’occasion de nous revoir, lançai-je au trio. Mais Nathalie, il me semble qu’il faudrait songer à rentrer. » Cette froideur que je manifestais n’était pourtant qu’affectation. Une petite perfidie avait germé en quelques minutes dans mon esprit surexcité. Il faut, auparavant, que je précise que chaque retour de plage est soumis à un rituel immuable. Nathalie me tend une serviette dont je lui couvre la ...