1. Cendrillon à la plage


    Datte: 06/09/2019, Catégories: fhhh, fplusag, jeunes, couplus, extracon, profélève, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, journal,

    ... attendrie par le plaisir. J’osai alors : « Je n’ai pas à imaginer, lançai-je. C’est la réalité. Depuis tout à l’heure, un charmant jeune homme t’admire de sa fenêtre… — Quoi, mais tu es fou ! Laisse-moi me lever éteindre !— Non ! Nathalie se débattait, voulut se libérer de mon étreinte. Je ne la lâchai pas, je lui fis presque violence. « Non, chérie, tu es belle, ça me plaît qu’il te voie… — Ohh, que dis-tu ? Tu me prends pour…— Rappelle-toi l’autre nuit, mon ange, tu es ma putain chérie, et là, il y a un homme qui te mate et qui te veut, en ce moment, qui se caresse en voyant comme tu es belle… Elle résistait moins, ses bras faiblissaient, et ses soupirs se faisaient plus profond. « C’est la première fois qu’un autre homme que moi te voit nue ma chérie, que tu fais l’amour sous les yeux d’un autre homme que ton mari ! Goûte ce plaisir, jouis de ce bonheur, Nathalie. Jouis de mon désir et du sien ! — Oh, Philippe, comment est-il ?— Il n’est pas mal du tout…— Philippe…— Beau garçon, il s’est déshabillé et il n’est pas mal foutu…— Philippe… !— Oui, quoi… dis-moi tout, ma douce…— Philippe, je ne comprends pas. Ça devrait me révolter mais… mais… je sens… je sens des ondes profondes, des vagues…— Des vagues de volupté inconnues, oui, je sais, moi aussi. Laisse-toi porter !— Mais c’est affreux chéri, d’habitude, ces vagues, elles viennent lentement, lentement, et là… oh, elles me submergent, je ne contrôle plus rien, chérie, je… Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, elle ...
    ... hurla, de ces hurlements qui sont des chants de sirène… Ce fut sa plus fulgurante explosion de jouissance. L’autre événement est survenu hier. Un détail a attiré mon attention dès notre premier jour ici. Il y a à la plage un groupe de trois jeunes gens, fort agréables de leurs personnes, probablement à peine remis de leur baccalauréat, passant leur journée à nager, à bavarder et à commenter, sans discrétion excessive, la beauté des jeunes filles. Or, je me suis rendu compte que, depuis le début de ces vacances, c’est Nathalie qui décidait du coin de plage que nous occuperions, et qu’elle nous conduisait systématiquement à quelques mètres de ces jeunes hommes, même quand l’espace était beaucoup plus dégagé ailleurs. Hasard ? Je n’y croyais guère, d’autant que les conversations murmurées, les clins d’œil, les rires étouffés ou gênés, l’insistance de leurs regards ne laissaient aucun doute sur le goût que prenaient les trois garçons au voisinage de mon épouse. Comme quelques jours plus tôt avec Christian, je me surpris moi-même à trouver particulièrement émoustillante cette promiscuité volontaire. Hier, mon excitation a atteint un nouveau palier. Il était huit heures du soir, l’heure la plus agréable, parce que la chaleur y est moins accablante et que la plage commence à être quasiment vide. J’étais allé, comme d’habitude, piquer une dernière tête, laissant Nathalie allongée sur le dos. Le coin que nous occupions s’était complètement dépeuplé, à l’exception de notre trio de jeunes ...
«1234...»