Cendrillon à la plage
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
profélève,
fépilée,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
journal,
... naturellement pas échappé. Mais au lieu de courir fermer les volets, ou simplement de la mettre en garde, je dégustais ce strip-tease. Nathalie tournait le dos à la fenêtre, et j’étais bien résolu à la laisser ignorer le plus longtemps possible le regard intéressé du jeune homme. Je savais comment parvenir à retarder le moment d’éteindre la lumière et de s’enfouir sous les draps. Je proposai donc à Nathalie un petit massage – ne sait pas y résister. Elle s’allongea donc sur le ventre. Son ravissant petit cul était ainsi pour au moins un quart d’heure à la délectation de mon voyeur. Je ne voulais pas me contenter d’imaginer, il me fallait voir. Je choisis donc de masser le corps nu de ma femme en me tournant du côté de la fenêtre. D’abord, l’air de rien, feignant de ne rien voir… Je malaxais le bas de son dos, m’attardai sur ses fesses, sans oublier les jambes et les pieds que je relevai vers moi, jetant des coups d’œil furtifs pour vérifier que le jeune homme était fidèle au poste. Dès que je relevai les yeux, je le voyais se reprendre, et retrouver devant son ordinateur une position respectable ! Croyait-il vraiment me donner le change ? Mais, à un moment, nos regards se croisèrent et j’eus le temps de lui sourire : il comprit alors que je ne voyais aucun inconvénient à lui offrir ma femme en spectacle et, dès lors, repris confiance et ne nous lâcha plus des yeux. Et moi, j’en rajoutai. Je ne me contentai plus de masser les jambes et les pieds de ma femme, je les lui ...
... embrassai longuement. Cette situation m’excitait tellement que, franchissant un seuil insoupçonné de moi-même quelques minutes auparavant, je n’y tins plus et me mis moi-même nu, m’exhibant à mon tour. A ce moment-là, je vis qu’il éteignit sa lumière ; sa chambre resta cependant suffisamment éclairée pour que je comprenne aussitôt, en le voyant se déshabiller, la raison de son geste. Il voulait profiter de l’obscurité pour se caresser en nous regardant. Je n’y voyais naturellement aucun inconvénient. Eût-il sonné chez moi que je lui aurais volontiers proposé davantage que le spectacle de ma femme, ma femme elle-même ! Pendant ce temps, je léchais avec volupté les pieds de ma femme, qui adore cela. À partir de là, l’idée de se coucher après le massage ne nous effleurait plus. Je voyais le sexe de ma femme luire et couler : m’allongeant sur son dos, la tête dans son minou délicieusement lisse et tendre, je lui offris un ardent hommage de ma langue. Au bout de quelques minutes, elle se retourna : « Eteins la lumière et viens ! » me dit-elle, « j’ai trop envie de toi ! » Moi, je ne pensai qu’à une chose : mon voyeur avait un panorama magnifique sur le sexe épilé de ma femme. — Moi aussi chérie, mais je n’éteins pas la lumière…— Il faut l’éteindre, Philippe, on pourrait nous voir, n’oublie pas.— Et alors ? Lui disant cela, je pénétrai dans la chaude taverne… — Mais enfin, chéri, imagine que quelqu’un nous voie dans l’immeuble en face. Il n’est que minuit, poursuivit-elle d’une voix déjà ...