L'Aurore d'une autre vie (15)
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... été ravi au cas où elle m’offrait sa virginité, il était touchant de savoir qu’elle voulait d’abord être sûre que tout se passerait bien entre nous en s’expérimentant d’abord. En guise de réponse, je la pris dans mes bras en lui disant : — Merci, ma cousine chérie. Je m’étais presque forcé de dire « cousine ». Nous restâmes quelques minutes ainsi. C’était très agréable d’avoir Aurore contre moi, comme ça. J’aimais sentir la courbe de ses seins contre mon torse, des seins habillés de plusieurs épaisseurs. Les pensées sur ce que pourraient dire les gens, ceux qui nous connaissent ou non, me traversa l’esprit. Nous serions des marginaux, haïs par tous, montrés du doigt par les gardiens de la bonne morale qui jugent sans savoir, et surtout qui ont sûrement déjà fantasmé au moins une fois sur un membre de leur famille, sans oser se l’avouer. « Avant d’être cousins, nous sommes des êtres humains » avais-je dit à Aurore quand nous commencions à nous échauffer sexuellement. Et c’est vrai. L’inceste, la famille, tout ça ce n’est que de la morale, et cette fille me plaisait en tant que fille, pas en tant que cousine. J’aimais son visage, sa voix, la ligne de son corps et sa façon de penser. C’était la même chose pour elle. Il a fallu que nous soyons en partie du même sang, mais ce tabou n’a finalement pas réussi à nous retenir. Et je ne regrettais rien, rien du tout. Nous avions tellement gagné tous les deux depuis nos premières galipettes… De ces pensées agréables, j’embrassai ma ...
... partenaire sur la tête. Et comme ce fut dit une fois, je n’avais plus peur de le répéter à présent : — Je t’aime, Aurore. Je t’aime. Quelques secondes plus tard, j’entendis, étouffé dans mes vêtements : — Moi aussi, je t’aime, Arnaud. Mon étreinte ne s’entrouva que plus fermement douce. vxavcce La nuit commençait à tomber, avec la température. Notre câlin ne suffisait plus à nous maintenir au chaud et nous commencions à être pris de tremblements. Nous rentrâmes à la maison, en portant le masque de la bonne humeur qui cachait aux autres l’indicible vérité. Il allait être impossible de continuer de nous aimer sans être découverts. La question était : qui, quand, comment et où ? Comme pris de panique, je pris mon téléphone et effaçai avec grand regret tous les sextos que nous avions échangés avec Aurore. Heureusement, nous n’avions pas pris de photos ni de vidéos de nos ébats. Mais les conversations sur Facebook ou sur Skype m’inquiétèrent ; sans faire du piratage informatique, j’avais peur que quelqu’un de notre entourage ait un jour accès à mes comptes et voie dans l’historique mes conversations cochonnes avec ma cousine. Et il était impossible de les effacer maintenant : il n’y avait pas d’accès à Internet dans la maison de mes grands-parents et le réseau par téléphone était très mauvais. Actuellement, il n’y avait donc aucun risque d’être découvert, mon ordinateur portable étant dans ma chambre à un seul lit. Un de mes petits cousins vint me voir pour dire que nous allions ...