Quatre putains de mois
Datte: 08/09/2019,
Catégories:
hh,
couple,
amour,
volupté,
Oral
préservati,
hsodo,
ecriv_f,
... fidèle… Il dit que je l’aime pour son cul. Et il me le tend, son cul. Je patiente encore. Je fourre ma langue entre ses fesses. Je sais que cette caresse-là le ravit. Je m’applique à déplisser sa rosette, avant d’aller un peu plus avant. Le goût est amer, âpre, et rappelle vaguement la poudre de cacao pure. La respiration de Christophe s’accélère, il pousse les fesses en arrière. À moi de le faire languir. «Qu’est-ce que t’attends, putain ! » Je me lève, attrape un préservatif, le déroule avec attention. Je ne me presse pas, pour donner à mon excitation le temps de légèrement descendre. Si je le prends maintenant, je vais jouir sans attendre. Je m’assois au bord du lit, et toujours sans me presser, entreprend d’enduire mon sexe de lubrifiant. Il se relève, se penche sur mon épaule, et murmure « Si tu ne te magnes pas, je te jure que c’est ta fête » Je souris, passe mes doigts gluants le long de ma tige, et lui appuie sur l’épaule. Il pivote, m’offre son cul, jambes ouvertes et dos cambré. Je ne peux résister au plaisir de passer d’abord mes doigts, couverts du baume, sur sa raie. Il se cambre plus ...
... encore, ondule, et grogne. Je n’ai pas plus envie que lui de faire durer cette attente. En d’autres moments. Pour l’instant, je me campe entre ses jambes, et, de la main, guide mon engin sur le chemin de nos plaisirs. Je le pénètre lentement. Il regimbe, et d’un coup de fesses, s’empale à fond. Mon sexe serré par son fourreau, mes couilles caressées par son entrejambe, c’est lui qui mène le jeu. Ses secousses rageuses sont une délicieuse torture. Je contrôle mon plaisir, comme je peux. Pas encore. Je reprends la main. J’impose un rythme lent, profond. Il soupire. Sa respiration devient hachée, il gémit. J’aime ces moments-là. Peu à peu, j’accélère. L’approche de la jouissance me fait perdre le contrôle. Je donne des coups de reins désordonnés, violents. Mes bras tremblent. Tout mon corps tremble. Je jouis. Je me dégage, ôte la capote flasque, et m’affale sur le dos. Avec tendresse, il vient donner de petits coups de langue sur mon torse trempé de sueur. Il m’embrasse, avec douceur. Il me semble que je bois à ses lèvres. Il susurre : — Repose-toi bien, au deuxième round, c’est ton tour. Quatre mois.