Luc
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... de ce bonheur. Quand elle a fait mine de replonger vers ma bouche, en me le montrant avec ses yeux, j’ai levé une main et fait : — Stop ! Pendant qu’elle s’arrêtait, intriguée, je suis allé tâter la poche arrière-gauche de mon Jeans. Ouf, ils y étaient ! J’en ai ramené un paquet de mouchoirs, duquel j’en ai extirpé un : — Allez… un grand coup d’trompe là-d’dans !— Tu trouves que je ressemble à une éléphante ?— Chut… mouche-toi, parce que ça donne franchement pas envie !— Méchant !— … Et puis… est-ce que la reine d’Angleterre se présenterait ainsi en public… Tu devrais y penser, chaque fois que tu as un gros chagrin !— Arrête… c’est gênant…— Mais non, mais non… allez… on a fini son gros chagrin ?— Mais arrête, imbécile… hihihi ! Bon. Quand j’ai eu fini de la moucher, j’ai fait, toujours en levant la main : — Re-stop ! Et là, elle a tellement rigolé qu’elle s’est retrouvée allongée à côté de moi. Elle semblait souffrir à force de rire. Alors je me suis penché sur elle et, à l’aide d’un mouchoir tout propre, j’ai épongé ses larmes de tristesse et de joie. Je n’ai pas attendu que son fou rire s’arrête, pour effleurer à nouveau ses lèvres des miennes, et elle s’est calmée très rapidement. Je lui ai offert le même baiser que tout à l’heure, point par point, sauf que là, il avait le goût de l’amour que je ressentais pour elle. J’ai pas compris, du tout ce qu’il s’est passé mais, tout à coup, je me suis retrouvé à la place du dessous. Ses yeux pleins de malice m’attendaient quand ...
... j’ai ouvert les miens. — Y vaut mieux que t’arrêtes de m’embrasser comme ça, sinon je te viole sur place… gosses ou pas ! Elle souriait, et en même temps, je voyais qu’elle ne plaisantait qu’à moitié. Elle a fait une autre chose folle : elle a posé sa main droite sur ma queue. Par-dessus mon Jeans, elle l’a tâté sur toute sa longueur, des bourses jusqu’à son extrémité. — Ben dis-donc… vous avez un permis de port d’arme, pour ça, monsieur ?— Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, "madame le policier", ai-je cru bon de fanfaronner, en posant mes mains au-dessus de ma tête. Je dirai tout ce que vous voulez savoir, inutile de me torturer !— Ouais ben, je crois que vous êtes bon pour une visite à mon poste de police !— Je me permets de signaler à madame qu’il est fermé, mais si je suis en état d’arrestation… Je vous rendrai mon arme, vous en ferez tout ce que vous voulez !— Oui ben, quand ça devient une question de vie ou de mort… attendez là et ne bougez pas… juste un coup de fil, pour prévenir le central. Et elle l’a fait vraiment : elle a ouvert un portable "portefeuille" après l’avoir extrait de son sac à main, a appuyé sur trois ou quatre touches et a attendu une minute avant de le refermer. — La salle d’interrogatoire est prête… ton compte est bon, mon bonhomme !— Vous avez pas le droit de me tutoyer, Madame le policier !— J’vais déjà pas te mettre les menottes, alors estime-toi heureux… allez, debout ! … Il nous a fallu moins d’une demi-heure pour rallier son appartement, ...