1. Luc


    Datte: 09/09/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... j’ai craqué, et le médecin m’a dit : « T’inquiète pas, c’est le choc… ça va passer. » Puis il s’est adressé à elle, et lui a demandé : « Il ne prend toujours pas ses cachets ? » Devant la réponse négative de ma tante, il a ajouté : « C’est dommage… il en aurait pour plus longtemps avec… » Il a ajouté, très vite, avant que l’un de nous ne fasse un mouvement : « Je ne veux pas de votre argent… et faites-lui prendre ses médicaments ! » Et il est parti.— Il est gentil, ce docteur, a dit Jennifer.— Oui, c’est vrai… mais il prend presque tous ses repas de midi chez nous, et ma tante refuse à chaque fois qu’il paye… En finissant ce résumé, je me suis rendu compte que je n’avais plus besoin de pleurer, et même, que j’avais retrouvé la force qui m’habitait avant que cette nouvelle attaque ne vienne. Rien que parce qu’elle m’avait appelé : "mon amour" ! — On retourne au bar, m’a-t-elle proposé.— J’crois qu’y vaut mieux pas… Ma tante m’a dit de "dégager", juste avant que je ne te rejoigne dehors !— Et alors ?— Tu la connais pas… quand elle parle comme ça, il vaut mieux s’écraser, crois-moi !— D’accord… Dis… notre coin est à l’ombre… On y va… J’pourrais te faire un câlin…— C’est bien parce que c’est toi…— Oh mais si t’en veux pas, j’le garde pour quelqu’un d’autre, hein ! Avant qu’elle n’ait fini cette phrase, elle était déjà allongée, les bras et les jambes en croix. Elle s’est exclamée : — Ah, si seul’ment y avait un preux et beau chevalier, pour partager ma couche, ça s’rait le ...
    ... paradis !— Mes hommages, princesse, ironisai-je, après avoir plongé à ses côtés.— Est-ce que vos intentions sont pures, jeune damoiseau ?— Ben… j’sais pas trop…— Approchez, et montrez-les-moi, pour voir… Je me suis appuyé sur mon bras droit. Elle m’attendait les yeux fermés et la bouche entrouverte, mais je ne lui ai fait qu’une petite bise sur le bout de son nez. — Mouais… c’est un bon début… Mais, je sens votre dague contre ma hanche… Ce n’est pas ainsi que l’on aborde une princesse, en mes contrées !— Ouais, ben p’t-être ben, princesse… mais… j’ai un permis pour ça ! Elle a éclaté de rire… dans ma bouche : je n’en pouvais plus d’attendre. Mais j’ai quand même patienté le temps qu’elle se calme, avant qu’elle n’ait droit au "traitement de faveur", et quand j’ai "libéré" ma princesse, j’ai pu constater que deux larmes avaient coulé sur ses tempes, et que son souffle n’était plus tout à fait régulier. — Espèce de brigand… voulez-vous bien me rendre mon cœur !— Je crains qu’il ne soit trop tard, princesse… il est déjà avalé !— En ce cas, je vais être obligée d’aller le chercher moi-même, c’est cela ?— Encore une fois, je le crains… Majesté !— Soit… dois-je faire sonner la garde ?— Point du tout, princesse, car, contrairement à la garde, je ne meurs pas… mais me rends !— Fort bien ! Au cours de ce dialogue, on a échangé nos places. Elle avait beau déclamer ces tirades avec aisance, je ne doutais pas qu’elle allait "m’arracher le cœur", et c’est moi, quelques minutes plus tard, qui ...
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