Luc
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... haletait sans plus aucune force ! — C’était bien, mon cœur ?— Moui… Où est-ce que t’as appris ça ?— Pas très loin, je crois…— Et moi, j’peux en avoir encore un peu ?— Tant qu’tu veux… si tu es sûr de pouvoir te contenter de ça jusqu’à ce soir !— Bon ben… si y faut qu’j’me contente de ça… allons-y !— Oh mais si t’en veux pas, y faut l’dire, hein… j’veux pas t’forcer, non plus, m’a-t-elle dit en se rallongeant sur le dos, à mes côtés. Elle essayait de garder un air renfrogné, mais n’y parvenait pas vraiment. J’ai roulé jusqu’à la surplomber, et je lui ai dit : — T’oublie que je suis armé alors… Hands up ceci est un holdup !— D’accord, mais ne me faites pas de mal, a-t-elle répondu, en plaquant ses deux mains au-dessus de sa tête, dans l’herbe. J’ai posé deux doigts sur son ventre, et le personnage ainsi créé a marché dessus jusqu’à son sein droit, où il est tombé raide, sur la paume. — Je vous interdis de me peloter, espèce de satyre !— Redis-le-moi rien qu’une fois et j’arrête !— Sinon j’appelle du renfort, a-t-elle à peine murmuré, d’une voix très aiguë et toute timide. J’en pouvais vraiment plus. Ses yeux me criaient : "Viens !", et elle ondulait du corps pour mieux sentir ma main glisser d’un sein à l’autre. Jamais elle n’allait me demander de l’embrasser. Il était clair qu’elle voulait que je capitule… C’était un jeu, et je venais à peine de m’en apercevoir. Quand elle a léché ses lèvres en m’allumant du regard, j’ai perdu… et j’ai gagné ! On a passé le reste de ...
... l’après-midi à inventer des jeux de ce genre, ou à broder des dialogues sur des thèmes différents du "policier", ou de la "princesse". On s’est pris tour à tour pour des professeurs, des infirmières, des gardiens de prison, et j’en passe… et l’après-midi est passée trop vite. À six heures et demie, on s’est levés, et main dans la main, on a marché en direction du bar. … Quand on est arrivés Samuel était assis dos à nous, à "notre" table et Raymond était en face de lui. Geneviève était aux fourneaux. Jennifer a posé sa main sur l’épaule de Sam qui s’est retourné. Il avait les yeux un peu rouges. Elle lui a dit : — Bonjour Sam… Tu peux nous laisser seuls, Raymond et moi… Toi aussi Luc, a-t-elle ajouté, en se tournant vers moi. S’il vous plaît. Le jeune homme s’est levé, et elle l’a enlacé, lui a fait une bise, et lui a dit : "Merci", avant de le laisser partir. Je l’ai entraîné jusqu’au comptoir, où je lui ai offert une "prune" après lui avoir serré la main, sans rien dire. Elle s’était assise tout près de mon oncle. Ils sont restés à peu près cinq minutes à parler tous les deux. Après quoi, Jennifer s’est levée et est passée près de nous sans rien dire, mais en nous lançant un petit sourire. Elle avait pleuré, un peu. Elle a continué son chemin, derrière le comptoir, pour s’arrêter une ou deux secondes, à l’entrée de la cuisine. Puis elle a disparu, on a entendu : "Tiens, salut Jennifer", et elle est ressortie de la cuisine. Elle tenait deux petites boîtes dans sa main, a pioché un ...