1. Luc


    Datte: 09/09/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... verre sur le présentoir, une carafe d’eau, et est retourné s’asseoir à côté d’un Raymond muet. Posément, elle a ouvert une première boîte, en a retiré un papier qu’elle a lu recto-verso et on a entendu : — Bon, celui-là, on doit le prendre au milieu de chaque repas, midi et soir ! Elle a posé la boîte à côté d’un Raymond toujours aussi muet, après y avoir remis le papier et l’avoir refermée, et a répété l’opération avec la deuxième : — Et celui-là, c’est un le midi et un le soir aussi, mais avant chaque repas… C’est quand même pas compliqué ! Elle a dégagé un cachet, a versé de l’eau dans le verre et a dit : — Allez hop… et on ne discute pas ! Moi, je savais que je devais m’attendre à tout avec elle, mais je devais sans doute afficher le même air ahuri que Sam. Mon oncle a pris le cachet sans prononcer la moindre parole, et surtout, sans exploser, comme je l’avais craint. — Et si y faut que je vienne à chaque repas pour vous les enfourner, je le ferai ! Elle est repassée près de nous, m’a fait un clin d’œil et m’a murmuré : — Tu m’diras quand j’en fais trop, d’ac ?— Ben apparemment, tu peux lui dire, et lui faire faire n’importe quoi, toi, lui ai-je répondu, sur le même ton confidentiel, n’en revenant toujours pas. Elle est retournée à la cuisine et on a entendu : — Ça sent bon, ce que vous nous avez préparé, Geneviève… c’est quoi ?— Paëlla.— Mmmh… super… ça va être facile à servir, alors. Samuel et moi, on ne parlait pas. Parfois, on se regardait, et je voyais très bien ...
    ... qu’il se demandait jusqu’où elle allait aller. Moi, je me demandais ce qu’elle avait bien pu dire à mon oncle, quand ils avaient parlés tous les deux, et en même temps, j’étais en attente de "voir la fin du film". — Et je suppose que tu vas me virer de ma cuisine, maintenant ?— Oh non, jamais j’ferai une chose pareille… mais vous m’avez dit, tout à l’heure, que vous étiez d’accord, et j’aimerais beaucoup que vous fassiez ça pour moi… et j’voudrais vous parler, à vous aussi. On peut s’asseoir, deux minutes ? Pendant qu’elles se faisaient leurs confidences (saleté de messe-basses), j’ai entraîné Sam à la table, et je l’ai assis à ma droite. Quelques minutes plus tard, Geneviève est revenue vers le comptoir, en a extrait cinq assiettes, les a données à Jennifer, et après avoir pris des couverts pour tous le monde, est venue s’asseoir à la gauche de son mari. Elle avait les yeux un peu rouges, elle aussi. Elle a dit, après avoir expiré longuement : — Sam, j’crois bien que ça va être ton tour… J’ai vu "mon frère" se tasser sur sa chaise. Ma tante aussi, et elle a ajouté : — T’inquiète pas, c’est pas méchant du tout ! Il a été très courageux et est allé de lui-même jusqu’à la cuisine, avant que son "bourreau" ne l’appelle. — Y paraît que tu veux me parler ?— Oui, assieds-toi, je te rejoins dans deux s’condes ! Elle a remué la paëlla un petit moment, puis s’est assise en face d’un Samuel un peu inquiet, mais résigné. Nouvelle "messe-basse" et retour de Sam, qui a dit, tout de suite ...
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