Luc
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... après avoir repris sa place, en tapotant la main de ma tante, en face de lui : — D’accord Geneviève, jamais plus je ne… t’appellerai "madame"… et toi aussi, Raymond.— J’espère bien qu’tu m’appelleras jamais "madame", a répondu celui-ci, voulant paraître dur, mais n’y parvenant pas. Tout le monde a rigolé, y compris Samuel, et Jennifer qui commençait à aligner les assiettes pleines et fumantes sur le comptoir. À la dernière, elle a dit : — Dites, j’suis pas docteur, mais il me semble que l’alcool, c’est pas très bon pour Raymond, non… alors, on tourne à l’eau pour ce soir, d’accord ? Et avant même que qui que ce soit ne réponde, elle a posé quatre verres sur le comptoir. Tout le monde a pu entendre mon oncle grommeler : — C’est elle qui va avoir ma peau, oui ! Dans le fou rire général, notre serveuse a posé les assiettes devant les convives, en commençant par mon oncle et ma tante. Elle a ramené la dernière en tenant les quatre verres contre son ventre, la langue coincée à une commissure, puis, après avoir posé les verres, s’est exclamée : — Dites les garçons, j’sais pas où vous avez été élevés, mais on ne laisse pas une dame comme une pestiférée, au bout d’une table… voulez-vous bien me faire une petite place entre vous, je vous prie ? À la suite du petit blanc dans sa phrase, sa voix avait pris un ton pincé et guindé qui a provoqué un nouveau fou rire. Moi, j’avais retrouvé ma "princesse" du parc. — Bon. Sur ces bonnes paroles, bon appétit à tous, parce que j’sais pas ...
... vous mais, les émotions ça creuse ! Et je ne sais pas pour les autres, mais j’ai passé la meilleure soirée de mon existence, bien meilleure que ne l’avait été celle de la veille ! L’épisode de l’attaque de mon oncle semblait oublié de tous, y compris de ma tante, qui en avait été si remuée. L’enthousiasme de mon amour paraissait inextinguible, et j’en arrivais même à douter d’être le seul "responsable" du bonheur qu’elle semblait éprouver, tant celui-ci avait l’air immense. L’ambiance générale n’a pas empêché Jennifer d’arrêter tous le monde, au milieu de l’assiette de mon oncle. Il n’a fait aucune histoire et a pris son cachet comme un "bon petit garçon sage" ! On a quand même eu droit au café de fin de repas (sauf Raymond, qui n’avait droit à aucun excitant), et après celui-ci, elle a débarrassé la table et a posé cinquante euros sur le comptoir sous les protestations inutiles de ma tante. Cette dernière l’a finalement laissée faire, mais s’est exclamée : — D’accord, mais c’est le premier et le dernier repas que tu payeras ici ! Pour dire "au revoir" à tout le monde, elle a fait comme à la fin du dîner de la veille : elle les a enlacés les uns après les autres, a eu un mot pour chacun d’eux, leur a fait une bise et les a lâchés, comme à regret. Ma tante a refermé derrière nous après nous avoir souhaité bonne nuit et moi j’étais un peu gêné, parce que je savais que Samuel allait les aider à "fermer", et que mes parents avaient renoncé à la recette du samedi soir, pour faire ...