1. Luc


    Datte: 09/09/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... plaisir à Jennifer. L’embarras n’était pas très grand parce que je savais qu’aucun d’entre eux ne me tiendrait rigueur de mon abandon. Ma princesse m’a tendu la main en me disant : — Tu m’ramènes sur ton destrier, mon preux chevalier ?— Bien sûr, mais y faut qu’j’aille récupérer les clés. Et bon… je suis retourné devant la porte, mais avant que je fasse mine de la déverrouiller, elle s’est ouverte devant moi et ma tante m’a tendu les clés et les papiers de la camionnette en me murmurant : — Pas la peine de rentrer demain. Tandis qu’on marchait, main dans la main, en direction de notre garage, je lui ai demandé : — Eh ben dis-donc… c’était quoi, tout ça ?— Rien… j’ai juste réglé deux-trois choses qui me gênaient… d’ailleurs, tu vas y avoir droit, toi aussi !— Ah bon ?— Ouais… et quand j’en aurai fini avec toi, si j’y arrive, t’auras plus jamais envie de me laisser, m’a-t-elle menacé, avec la même expression sur le visage que lorsqu’elle m’a dit qu’elle allait se caresser en pensant à moi, la nuit précédente.— Je ne suis pas celui que vous croyez !— Ouais, et ben on verra… Au fait, on va où là ?— Au garage de la camionnette.— C’est encore loin ?— Non, deux minutes. Elle a pressé le pas. … Quand j’ai eu ouvert la porte du garage, et celle de la camionnette, elle s’est faufilée avant moi dans l’habitacle. J’ai refermé la portière et j’ai entendu : — Attends avant de démarrer… recule ton siège !— Hein ? Elle n’a pas répondu. Au lieu de ça, elle s’est attaquée à ma ceinture, des ...
    ... deux mains. — Recule ton siège, j’t’en prie. Elle avait fini de déboutonner mon Jeans. De sa main gauche, elle a tiré sur l’élastique de mon caleçon et a glissé sa main droite dedans. Il valait mieux pas que je discute, alors j’ai enfin fait ce qu’elle me demandait. En même temps qu’elle sortait mon sexe de mon caleçon, elle m’a enjambé et a posé ses fesses sur l’arrondi inférieur du volant. Puis, elle a remonté sa jupe d’une main, et tandis qu’elle tirait sur l’entrejambe de sa culotte de l’autre, elle m’a fait : — Regarde. Moi, j’suis une vraie blonde… Descends-moi tout ça à tes pieds… parc’que je peux plus attendre ! Je l’ai fait en deux temps trois mouvements : y avait urgence. Ses yeux étaient à demi-clos, fiévreux. Elle a cherché l’entrée de son vagin à l’aide de mon gland et s’est laissée descendre, tout doucement, le long de ma queue en soufflant : — Ouuh… mon Dieu, qu’est-ce qu’elle est looongue… Elle a ondulé du bassin, comme pour en prendre encore un peu. — Tu sais qu’je t’aime comme une dingue, hein, en enroulant ses bras autour de ma tête. Et ça fait si longtemps que je rêve de te sentir en moi… J’essayais, de manière désespérée, de ne pas venir de suite, et quand elle a soudé ses lèvres aux miennes, j’ai cru que j’allais perdre le contrôle. Elle a commencé, en de courts va-et-vient, à monter et descendre sur ma queue. Ses gémissements ont occupé l’espace nous environnant, jusqu’à ce qu’elle accentue l’amplitude et la vitesse de ses mouvements. Là, elle s’est mise ...
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