Les anales des copines : La nunuche
Datte: 10/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
fsodo,
init,
ecriv_c,
... nombreuses exclamations de douleur, Sandrine s’est empalée sur toute la longueur de mon sexe. Je sentais nettement les parois de son rectum épouser la forme de mon chibre. J’étais aux anges. Elle est restée cinq bonnes minutes immobile avant de rouler doucement des hanches. Très vite, je l’ai sentie se détendre, se relâcher. Elle respirait de plus en plus fort tandis que le mouvement circulaire de ses hanches s’amplifiait. Je la tenais par les hanches et je regardais ses petites fesses s’agiter. Elle a arrêter de remuer pour monter et descendre sur mon sexe. Elle poussait un gémissement à chaque fois que ma bite se renfonçait en elle. J’adore cette sensation que l’on a lorsque l’on prend des fesses, cette impression d’aller encore plus profond à chaque aller et retour. Manifestement, Sandrine n’avait plus mal. Elle ahanait en se sodomisant de plus en plus fort. Son petit orifice était de plus en plus détendu. Elle me disait que c’était bon, qu’elle me sentait bien profond en elle, qu’elle était ma pute, ma petite enculée. Moi, j’étais comme fou, je la traitais de traînée, de souillon, de vicieuse, je lui racontais que je dirai à sa collègue Nathalie qu’elle se faisait enculer dans les chiottes comme la pire des salopes… Je crois que c’est cette idée qui a eu raison de Sandrine qui s’est brusquement cambrée, comme tétanisée en poussant un long hululement à la limite du grotesque. Les contractions de ses entrailles ont précipité ma jouissance, je lui ai envoyé tout mon jus ...
... dans les intestins en couinant tout aussi grotesquement qu’elle. Nous n’étions, en fait, plus que deux animaux, à ce stade, deux bêtes, deux êtres primaires en train de jouir… On est bien restés dix bonnes minutes à reprendre nos esprits. Mes mains la caressaient partout tandis que je lui couvrait, sa nuque perlée de sueur, de petits baisers. Sandrine s’est, précautionneusement soulevée. Mon sexe s’est trouvé expulsé de ses fesses. Elle a remonté son corsaire et nous sommes sortis. On a marché un moment sans rien dire puis, je l’ai prise contre moi pour l’embrasser tendrement. Je crois que c’est là que je suis tombé amoureux d’elle… On est retourné se coucher discrètement, comme si de rien n’était. Personne ne s’est rendu compte de notre idylle lors de ce séjour et pourtant, la nuit, dans le bloc sanitaire, c’était un festival de jouissances, d’orgasmes. Sandrine n’a pas voulu me donner sa virginité, par principe, ce genre de chose, elle le réservait pour celui qui se marierait avec elle. Moi, ça me faisait marrer et je lui disais que son futur mari ferait une drôle de tronche s’il apprenait que sa prude femme se faisait farcir l’oignon dans les WC d’un camping, par principe. Elle aussi ça la faisait sourire. On a fait de grosses cochonneries pendant deux semaines. Une fois, n’y tenant plus, je l’ai sodomisée dans la tente, à côté de Nathalie qui dormait à poings fermés… C’était drôlement excitant cette idée que, subitement, notre collègue se réveille, allume la lumière et me ...