Dame Erika (4)
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Chapitre 4 : Le supplice ÉLISE Ils nous ont attachées toutes le deux sur cette croix, face au mur. Nous ne voyons rien de ce qui se passe ; avec Tina, on peut juste se regarder. On est à poil. Il m’a donné des frissons, l’autre qui veut qu’on soit fouettées ; ça va faire comme à Disneyland avec « The Phantom Manor ». La trouille, quoi ! Je vais me pisser dessus si ça continue comme ça. Mais malgré tout, j’aime bien être attachée à poil ; avec Tina, on le fait des fois. Dans l’appart, on a une barre de pole dance ; on s’attache dessus et on se met des fessées. Après, on aime bien être à poil toutes les deux ; et en plus, là, il y a du monde. Humm quel exhib ! J’adore ; je commence à mouiller. Je sens qu’on va s’éclater ; enfin, s’ils ne nous massacrent pas le derrière… Mais c’est juste pour faire peur, et avec moi ça marche à tous les coups. Bon, après, moi j’ai rien compris au film qu’ils nous ont passé. Et le vent, je ne sais pas comment il on fait. En tout cas, la 3D avec les sensations, top ! Les avions, les bombes et tout, ça m’a foutu la trouille comme à Disneyland avec « Ratatouille », mais là j’aime bien. En plus, je suis certaine que ça va finir en partouze ou un truc de cul : là, j’adore. Un coup d’œil à Tania : elle aussi a l’air de bien aimer. On se regarde toutes les deux. Je me lèche les lèvres, lui lance un clin d’œil coquin ; elle me le fait aussi, donc elle aime. OK, je sais, on est un peu maso toutes les deux ; après tout, il n’y a pas de quoi fouetter un ...
... chat. Et deux chattes, c’est mieux ? Et le mec qui vient de dire de nous fouetter… J’aime bien la fessée, mais je n’ai jamais essayé le fouet. Putain, ça va être bien ! Je mouille encore plus ; ça coule le long de mes cuisses. Elle est super bien faite, leur attraction ! Un sifflement, suivi d’un claquement sec. — Ah ! Aïe ! Ouille… « Ça ne va pas, non ? Putain, que ça fait mal ! » Je hurle pas de douleur : je simule ; ça, je sais faire. Juste pour qu’il ne m’en foute pas un coup ; celui-là n’est pas passé loin. On gueule comme des folles. Nous venons de nous prendre un coup de fouet d’un autre monde, puis un second et un troisième. Même pas mal ! On gesticule dans tous les sens, on crie, on pleure, on râle ; ça pique un peu, mais il n’y a pas de quoi hurler. Si on gueule bien, ils seront contents et vont arrêter. Il faut lui faire comprendre qu’il ne faut pas faire ça ; on ne tape pas de jolies femmes comme nous, ça ne se fait pas. « Si j’arrive à me détacher, je te jure que je lui fais bouffer son fouet, à ce con ! Je vais leur mettre le carnage, je vais lui apprendre les bonnes manières ! » Puis, tout à coup : — Non… Non… Messire, arrêtez. S’il vous plaît… La vache, ça a marché ! *************************************************************************** LIOUBOV Lioubov, surpris par la supplique de la femme, sort de la rêverie dans laquelle l’avait plongé l’interprétation de cette pièce baroque de Robert de Visée, pose précautionneusement son théorbe et se saisit délicatement ...