Dame Erika (4)
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fesses. *************************************************************************** PAT « Oh putain ! Oh con ! On a eu chaud ! Un peu plus, ils nous coupaient en morceaux, ces cons-là. Grand merci à la petite Dame Erika. » Je suis le premier à être mis sur pieds, bien heureux que tout s’arrête. J’ai mal aux articulations ; je crois qu’elles commençaient à se déboîter. Je croise le regard dépité de mes bourreaux qui devaient se réjouir des supplices qu’ils projetaient de me faire subir. À la vue de l’outil qu’ils ont en main, une sorte d’énorme tenaille – je vous passe les détails de son utilisation – je frissonne. ygppmx Je peux voir le dos et les fesses des filles qui portent encore les marques violacées du fouet. Tom a du mal à marcher ; l’empreinte des pointes sur ses fesses est encore visible. J’espère qu’ils vont se décider à nous filer des frusques, parce que c’est bien gentil, tout ça ; mais moi, la bite à l’air, un peu, ça va ; après, ça me gonfle. Nous nous retrouvons tous les quatre alignés et inquiets devant Dame Erika et son seigneur d’époux. — Qu’allez-vous en faire, Dame Erika ? — Je voudrais qu’ils soient emmenés dans mes appartements ; avec mes servantes, je vais m’en occuper pour ce soir. — Ne craignez-vous point qu’ils vous créent des ennuis ? Je vais mettre des gardes à l’intérieur. Mais que préparez-vous, enfin ? — Je vous l’ai dit : une surprise. Vos gardes resteront dehors. Vous savez très bien que vos ferrailles, je ne les aime pas : je ne supporte pas ...
... vos cuirasses en ma demeure. Allons-y : qu’on appelle mes servantes, et qu’elles les accompagnent dans mes appartements. Les servantes arrivent. Elles nous prennent en charge et, accompagnés de deux gardes en armes, elles nous guident dans un dédale des couloirs et d’escaliers. Nous arrivons enfin dans une chambre immense ; les gardes se postent à l’extérieur, devant la porte. J’ai un sentiment de déjà vu : cette chambre ressemble étrangement à celle que nous avons visitée je ne sais plus quand ; j’ai perdu la notion de temps. Les servantes nous observent, nous détaillent sous toutes les coutures, chuchotent entre elles. Visiblement, elles se régalent de nous voir à poil : elles n’ont jamais dû voir de mecs aussi bien gaulés que nous. « Putain, je me les ferais bien, ces deux gonzesses ; je vais leur montrer, moi, ce que c’est qu’une queue de Marseillais ! » Dame Erika, élégante, fait son apparition ; elle avance vers nous d’un pas majestueux et, de son regard coquin, elle nous toise, nous observe, puis nous palpe de ses mains. — Allez faire bouillir de l’eau, qu’on les lave ; et apportez quelques affublements (vêtements) ordonne-t-elle à ses servantes, qui ont du mal à détacher leur regard de nous. Elle sourit et continue son exploration corporelle tout en nous questionnant. Nous lui racontons notre aventure depuis le début : le château, la visite, la tornade. Elle nous écoute avec attention, et nous essayons de savoir où nous sommes : le lieu, l’époque. Nous apprenons que ...