1. Le gîte de l'amour


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, grp, fbi, frousses, couple, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, jardin, hotel, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, piquepince,

    ... autant, mais la pauvre chérie n’a jamais pu franchir le cap.— À part une fois, mais j’étais tellement mal après que je n’ai plus jamais accepté de baiser avec un mec de la communauté, ni d’ailleurs.— La seule chose qui permettait de rasséréner l’esprit de Michèle, c’est qu’une femme la prenne dans ses bras. Tu me connais : en tant que bonne âme, je l’ai cajolée, et pour l’occasion je lui ai fait goûter aux délices des attouchements saphiques dont elle ignorait tout. ********** À l’époque de son premier séjour dans ce lieu, Michèle était une jeune fille timide et innocente en matière de sexualité, même si son mari avait commencé à la déniaiser. Martin voulait l’initier à ce qu’il avait connu dans la communauté. Elle avait été assez effrayée par le résumé qu’il lui avait fait, mais comme elle l’aimait, elle accepta de le suivre pour un séjour d’une semaine en « immersion totale ». Dans ce coin de nature, elle se résigna à se mettre nue, et ce malgré sa pudeur et son ancrage culturel qui voulait que le corps était sale, qu’il fallait le cacher. De toute façon, elle n’avait pas le choix puisque, comme l’avait exigé son époux, elle était vêtue d’une robe (qu’il subtilisa dès leur arrivée) sous laquelle elle ne portait rien et sans autre vêtement pour se changer. Chose étrange, après quelques heures de gêne, elle y trouva du plaisir. Sa pudeur était toute relative et elle n’éprouvait aucune crainte à être nue au milieu d’autres personnes sans vêtements. Si elle avait été nue au ...
    ... milieu d’inconnus habillés, son ressenti aurait été totalement différent. De sentir l’air passer sur mon sexe, ses fesses, ses seins était une découverte pour elle. Pourtant, elle n’était pas exhibitionniste, et lorsqu’elle se baignait dans la rivière elle ne faisait rien pour se faire remarquer. Ce qu’elle avait le plus de mal à accepter, c’était la liberté sexuelle. Elle souffrait silencieusement en voyant Martin se vautrer dans la luxure avec d’autres femmes. Elle ne faisait rien pour attirer les autres garçons ; au contraire, elle avait décliné les propositions qui lui avaient été faites. Son mari finit par lui dire : — Ma pauvre gourde, si je t’ai fait venir ici, ce n’est pas seulement pour baiser d’autres filles. Si c’était le cas, je n’aurais pas eu besoin de toi. Ce que je souhaite, c’est que tu te fasses sauter par d’autres que moi.— Mais je t’aime, Martin, je n’ai pas envie d’un autre homme.— Oui, mais moi j’en ai envie. J’ai envie qu’un autre homme te pelote les nichons, qu’il suce ta moule, qu’il te baise, qu’il te prenne dans diverses positions, si possible avilissantes, que tu le sentes bien profondément en toi. Et surtout qu’il éjacule en toi. Qu’il répande son jus au fond de ton con. Je voudrais que tu éprouves la sensation d’être une chienne en chaleur ! Alors elle se donna à l’un des membres de la communauté. C’était loin d’être le plus doux, et il fit tout ce que souhaitait Martin. Michèle était si tendue que les attouchements qui auraient pu lui plaire furent ...
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