Le gîte de l'amour
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
fh,
grp,
fbi,
frousses,
couple,
extracon,
poilu(e)s,
bain,
campagne,
jardin,
hotel,
Collègues / Travail
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
échange,
piquepince,
... une torture pour elle. Le garçon, sur les recommandations du mari, baisa la jeune femme sans préservatif, malgré les risques inhérents. L’expérience désastreuse choqua fortement Michèle. Elle était marquée physiquement, la baise particulièrement brutale ayant laissé des traces sur son corps. Mais la blessure la plus profonde était morale. Ce qui restait encore de pudeur et de naïveté en elle avait volé en éclats : elle avait été prise par un homme sans éprouver pour lui aucun sentiment et elle n’était plus la jeune fille aux rêves purs. Cette semence, lorsqu’elle l’avait sentie au fond d’elle, avait été comme une brûlure, et il lui semblait qu’elle demeurerait comme une tache indélébile. Elle alla à la rivière pour nettoyer cette souillure, et c’est là qu’Emmanuelle la trouva effondrée, tremblante et en pleurs. Elle comprit son désarroi et tenta de la réconforter. Emmanuelle s’attacha alors à Michèle et elles devinrent rapidement de très bonnes amies. Elles se promenaient parfois dans la nature. Un jour, elles décidèrent de partir un peu plus loin afin de ne choquer personne. Elles prirent des robes qu’elles enfilèrent lorsqu’elles s’éloignèrent de la communauté ; elles se munirent pour un pique-nique. Après le repas, alors que son amie somnolait, Michèle s’est isolée pour assouvir un besoin pressant. Après avoir uriné, elle ne put réprimer une envie irrépressible : elle passa une main sur ses seins nus sous la robe et que le contact du tissu excitait. Son autre menotte se ...
... posa sur sa touffe. Bientôt ses doigts glissèrent vers ses lèvres et s’enfoncèrent dans sa fente. C’est alors qu’elle commençait à ressentir un premier plaisir qu’elle perçut une présence derrière elle. Emmanuelle la regardait en souriant. Michèle rajusta sa robe précipitamment et bredouilla quelques mots incompréhensibles avec le feu aux joues. Elle s’attendait à une risée de son amie, quelques moqueries sur sa conduite, mais ce fut tout le contraire. Elle lui dit même : — J’avais envie de faire la même chose que toi. Moi aussi je n’y tiens plus. Allez, continue, je vais en faire autant. Emmanuelle passa sa robe par-dessus tête, et son corps nu, éclatant de beauté, apparut. Michèle avait déjà vu son amie dans la tenue d’Ève, mais là, elle découvrait une femme sexuellement désirable. Elle s’assit sur le sol, le sexe ouvert et dans l’axe de vision de Michèle. Celle-ci hésita un instant avant de replonger sa main sous sa robe. — Enlève ta robe, ce sera mieux. J’adore être nue en pleine nature, pas toi ? Et surtout, à se donner du plaisir. Lorsqu’on est deux et que l’une regarde l’autre, c’est encore plus plaisant, tu vas voir. Ne crains rien, je ne te toucherai pas.— On pourrait nous voir…— Aucun risque : personne ne vient dans ce coin. Laisse-toi aller. C’est ainsi qu’elles se retrouvèrent nues l’une en face de l’autre à se branler. Alors que l’excitation montait, elles faisaient des commentaires sur leurs corps. — Tu as des seins magnifiques, dit Michèle.— Les tiens sont bien ...