Tout d'abord, les personnages
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
fsodo,
... exclusivement que pour Arthur. Ce matin-là, Jean se dit qu’il était temps que cela cesse et Margaux était vraiment quelqu’un de bien. Il l’avait rencontrée au cours d’une mission sur laquelle il travaillait. Le chef de la mission de l’époque se faisait graisser la patte par les fournisseurs et Margaux avait été déléguée pour remettre de l’ordre. En deux heures, le coquin était viré et remplacé par un vétéran de ce genre de mission. Le vétéran, c’était lui. C’est ainsi qu’elle l’avait intronisé auprès des équipes. Et c’est toujours ainsi qu’elle le surnomme, même dans leurs moments les plus intimes. Le soir de leur rencontre, elle l’avait invité au restaurant et avait exigé de lui qu’il la laisse payer. Elle disait aimer son autonomie et entendait bien le lui faire comprendre. Le seul moment où elle se laissait faire volontiers, c’était lors de leurs ébats amoureux. Il se souvenait encore de cette première soirée avec elle. Il l’avait raccompagnée chez elle après le restaurant. Comme ils devaient porter des cartons de documents, elle le fit entrer dans son appartement. Dix secondes après, elle lui avait sauté dessus. Son manège dura quelques minutes. Quelques minutes pendant lesquelles elle s’était montrée très entreprenante, l’ayant quasiment mis à nu. Il était alors allongé, dos au sol, avec pour seul vêtement son boxer gris. Elle lui avait relevé les bras au-dessus de la tête pour ne pas qu’il la touche. Au début, il ne comprenait pas pourquoi et se demandait vraiment s’il ...
... n’était pas tombé sur une sadique. En fait, elle parcourait le corps de Jean de sa langue, partant de la lisière de son boxer en remontant doucement sur son ventre. À califourchon sur ses cuisses, sa langue remontait sur ses tétons un peu durcis. Elle en prit un en bouche et tira dessus doucement. Il poussa un gémissement sous la surprise. Elle passa alors le long du bras, ressentant les effluves masculines de Jean, lui mordit l’épaule avec douceur avant de remonter sur son lobe d’oreille, en passant par la vallée du cou. Les bruits de succion de sa bouche le firent trembler alors qu’elle passait sa langue sur sa joue, arrivant à ses lèvres et les pénétrant vivement, sans ménagement. Leur baiser fut violent, les langues fouillant la bouche de l’autre dans un torrent d’humidité, libérant la charge érotique qui pesait sur eux depuis quelques instants. Lorsque enfin il put reprendre son souffle, le corps de Margaux glissait sur le sien, immobilisé sur le sol, les bras toujours au-dessus de sa tête. Il glissa tant que la poitrine de la jeune femme arriva sur son visage. Un sein, encore recouvert de vêtements, se posa sur ses lèvres qu’il referma tout de suite, tentant de happer le téton sensiblement dardé. Margaux poussa un cri de surprise et lâcha prise. Elle s’effondra sur lui, lui donnant alors l’autorisation de venir la toucher à son tour. Les bras de Jean se refermèrent sur son corps, caressant le bas du dos, relevant le pull pour sentir la peau à même ses mains. Il la fit ...