1. Tout d'abord, les personnages


    Datte: 13/09/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral fsodo,

    ... basculer sur le côté dans un mouvement qui lui permit de se retrouver rapidement sur elle. Il lui rendit son baiser, dans un esprit de revanche, jouant avec ses lèvres et sa langue, puis descendit lentement dans son cou, le long des muscles saillants. Il la sentait abandonnée, loin de l’étreinte fougueuse qu’elle avait manifestée, prête à s’offrir. Le souffle de Margaux devint plus court lorsque les mains de Jean remontèrent le pull sur ses bras pour lui offrir la vue de ses seins. Une petite pointe brune trônait au milieu de cette dune de chair claire, légèrement comprimée par la dentelle noire du caraco qu’elle portait. Il l’embrassa tendrement puis descendit plus bas encore, jusqu’aux boutons du pantalon qui sautèrent les uns après les autres, permettant aux phalanges de Jean d’effleurer le tissu sombre de ses dessous. Il lui prit les jambes pour ôter le tout, pantalon et shorty de dentelle. Elle se retrouva jambes écartées et repliées, dévoilant pour la première fois son intimité luisante à son « vétéran ». Les yeux rivés dans les siens, il descendit son visage entre ses cuisses et se fit un collier de ses jambes autour de son cou, embrassant la peau sensible de l’intérieur de ses cuisses. S’offrir ainsi à un homme ne la gênait pas le moins du monde, au contraire, elle adorait ces douceurs buccales. Jean voulut lentement l’amener à son plaisir en tournant délicatement autour de sa vulve. Les lèvres étaient entrouvertes, luisantes, rougissantes de plaisir. D’une main, il ...
    ... décapuchonna son bouton d’amour pendant que sa langue partait de son périnée pour remonter entre ses lèvres, ramassant une quantité de mouille impressionnante, et finir sa course sur le clitoris qu’il aspira d’un coup. Elle serra ses jambes très fort autour de son cou, signe d’une décharge intime et prit sa tête entre ses mains pour l’obliger à continuer plus fort encore. Les spasmes devenaient plus intenses lorsque sa langue s’immisça entre ses lèvres pour la pénétrer plus profondément. D’un cri, elle se libéra totalement et Jean sentit un fleuve lui couler sur le menton. Les mains de Margaux éloignèrent sa tête, ne pouvant plus supporter le moindre contact intime. Il lui fallut quelques minutes pour se ressaisir et l’attirer vers elle. De son regard trouble, elle lui dit merci en lui proposant de se déshabiller. Elle ne fit rien pour l’aider, se contentant de se retourner pour lui offrir sa croupe, sans un mot, sans une parole. Une fois nu, il se présenta à elle. Ses jambes étaient serrées et ses fesses très en l’air. Il ne sut vraiment pas ce qu’elle attendait, jusqu’à ce qu’il sente une main se poser sur son sexe raide comme la justice. Elle l’attirait vers elle et la seule position qu’il trouva fut de se mettre debout au-dessus de ses fesses, alors qu’elle pointait son sexe à l’entrée de son anus. Elle tourna la tête vers lui avec un petit sourire et lui tira le sexe encore plus fort, en poussant sur ses fesses. Son anus s’ouvrit lentement, s’écartant au passage du gland ...