Tout d'abord, les personnages - Histoires de Sexe

Tout d'abord, les personnages

... gonflé de désir. Elle le lâcha et mit sa tête entre ses bras pendant que Jean la prit par les hanches pour la pénétrer plus fort encore. Elle gémissait sous la contrainte imposée par ce sexe, alors que lui semblait hypnotisé par ces fesses si accueillantes. Lorsqu’il fut planté au fond d’elle, il se reposa quelques instants, le temps pour eux deux de prendre conscience de la suite. Il était bien là, totalement introduit dans son cul, dans cette prison de chair un peu sèche. Elle n’eut que quelques mots : — Viens … viens fort maintenant ! Il prit ses hanches plus fermement et sortit d’elle presque totalement. Son anus ne se refermait pas. Lorsqu’il la pénétra à nouveau, ce fut beaucoup plus aisé. Commença alors un va-et-vient lent, profond. Il voulait sentir chaque pénétration avec délice, guettant les signes de plaisir de Margaux, écoutant chaque râle, voyant les mains se crisper sur le carrelage. Le fourreau de ses fesses était serré, il sentit son plaisir arriver et décida de donner des impulsions puissantes à son bassin. Chaque coup de rein arrachait un ...

... cri à cette femme offerte. Elle releva la tête et le buste, cambra ses reins et cria encore plus fort lorsque Jean se déversa au fond d’elle. Il resta figé en elle longtemps, son corps allongé sur le sien, embrassant son cou et respirant son parfum. Au bout de quelques instants, il se retira, arrachant une plainte de déception à Margaux. — Mmmm, j’adore te sentir en moi…— Et moi j’adore y être ! Mais j’ai très envie d’une douche, pas toi ?— Si, mais avec toi alors ! Partant ?— Eh bien …— Allez …. Et puis j’ai très envie de te sentir aussi par-devant … mon sexe a envie de toi, j’ai encore envie de toi … La première nuit avait été un délice de débauches, ne s’arrêtant qu’avec l’épuisement des acteurs, très tard le lendemain matin. Les nuits suivantes furent aussi belles et leur relation avait continué, même après leurs retours respectifs à la vie parisienne. Jean sortit de son rêve éveillé pour revenir à la réalité. Son fils avait raison : il était plus que temps de faire entrer Margaux dans leur vie. Une question cependant le minait : allait-elle accepter ?