1. Pour une Queue Montrée (3)


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... regard intense pendant qu’elle continuait de bouger. À présent, elle se tenait un sein. Son sourire lubrique entraîna le mien, et entre deux de ses gémissements je lui dis, les dents serrées : — Ah ! Cochonne ! Une remarque qui parut lui faire plaisir. Se tenant toujours la mamelle, Laurianne passa sa main dans sa nuque, bouche ouverte et tête vers le haut, les yeux fermés et sourcils levés. Mes mains se crispaient sur ses cuisses, je regardais ma verge disparaître et réapparaître régulièrement entre les douces jambes. Je continuais de l’appeler « Laurianne ! Laurianne ! Ah, Laurianne ! », ce à quoi elle répondait « Oh ! Grégoire ! Grégoire ! » avant d’ajouter « T’aimes ça, hein ! Hein t’aimes ça ! » Elle tapait allègrement sur mon pubis ; l’épilation de ses lèvres et de mon sexe favorisait considérablement ce merveilleux son de claquement sexuel. Finalement, éprouvée, ma sœur cessa sa charnelle danse et s’allongea sur moi. Attrapant ses fesses, je fis quelques très lents mouvements et nous nous regardâmes, front contre front, à gémir ensemble et à nous sourire, les yeux dans les yeux. — T’es trop bonne, Laurianne, lui dis-je calmement en riant de plaisir. — Toi aussi, Greg, répondit-elle sur le même ton avant de me donner un fabuleux baiser de toute sa langue. — Comment veux-tu que je te prenne ? demandai-je tendrement. — Sur le côté… Nous voilà sur le flanc gauche. Après m’être réintroduit pour reprendre une cadence correcte, je tins ma belle partenaire à la taille. Peu ...
    ... après, j’allais mettre ma main grand ouverte et bien à plat sur sa fesse droite. Ce qu’il y avait de bien, avec les « cuillères », c’était qu’elles obligeaient les partenaires à y aller doucement tout en ayant le plaisir de serrer la verge grâce aux cuisses fermées. Parfait pour calmer nos ardeurs épuisantes. La chose que l’on pouvait en revanche reprocher, c’est qu’en réalité il était difficile à la fois de faire des va-et-vient et de se coller ventre à dos sans sortir du vagin toutes les cinq secondes. Et j’avais envie d’étreindre Laurianne. Pour ce faire, je me mis au-dessus, sans qu’elle ait à bouger. J’allais ainsi la pénétrer comme en missionnaire, mais elle en restant en cuillère. De plus, c’était un angle différent pour l’entrée d’une verge. Une fois en elle, je repris les mouvements doux : mes limites commençaient à être atteintes, mon sexe se préparait à cracher bientôt. Je m’allongeai sur le flanc de Laurianne et l’embrassai sur l’épaule, sur la joue, sur la bouche. Nous restâmes un moment comme ça, avant que ma sœur ne décide de s’allonger sur le dos. En la re-pénétrant, je lui dis : — Ça va, toi ? — Oui. Et toi ? — Ça va être notre dernière position. — D’accord, chuchota-t-elle en me caressant la joue. La jeune femme referma son emprise de tout son corps. J’étais plaqué contre ses seins et je bougeais tout entier, nous emportant tous les deux dans le mouvement. À cadence douce mais pas molle, je glissais jusqu’au fond avant de ressortir avant le gland. Les soupirs ...
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