1. Médecin dans une prison de femmes (I)


    Datte: 17/09/2019, Catégories: médical, noculotte, journal,

    ... s’il vous plaît, lui demandais-je.— C’est à dire Che.. Docteur que j’avais pas prévu— Vous n’aviez pas prévu quoi ?— Ben, j’avais pas prévu de me déshabiller, je ne porte rien en dessous.— Cela vous gêne ? Lui demandais-je avec sincérité.— Ah ! Non ! Non ! Mais votre prédécesseur, c’est lui qui n’aimait pas ça, dit-elle en faisant glisser la fermeture de son blouson. Son blouson s’ouvre sur deux mamelles tombantes aux aréoles très larges et très sombres, tristesse de la chair avachie. Assise sur la table, son ventre dessine de gros bourrelets de cellulite qui cascadent vers ses cuisses, ses épaules fuient, ses bras apparaissent décharnés. Sur le plan clinique, mon examen ne révèle aucune lésion cutanée apparente, son dos est constellé de taches de rousseur et de grains de beauté. J’ajuste mon stéthoscope. La tension est un peu élevée, mais, dans ce milieu stressant pour le corps et l’esprit, c’est normal. Je pose mon stéthoscope à la base de son sein gauche et le fais légèrement glisser pour bien situer les battements cardiaques. Son mamelon repose sur mes phalanges, il est lourd, moite, désagréable, il est là sous mes yeux, avec ses tétons presque secs et cette aréole immense tache noire et pleine de petites cloques et de poils épars. Il oscille lentement de haut en bas au rythme de la respiration exagérée de ma patiente qui, comme toutes les personnes auscultées, se croit obligée de bien marquer ses mouvements respiratoires. Le contact avec cette chair féminine crue me ...
    ... trouble, je sens la bête, imperceptiblement, elle a bougé, elle se réveille, Ah ! Dieu ! Pourquoi ces tourments, Seigneur je suis damné. Me rappelant les exercices du Docteur C., je me détourne de ma patiente et j’inspire lentement et expire profondément plusieurs fois de suite, tout en fixant mon attention sur la reproduction des nymphéas de Monet que j’ai posée sur le bureau. La crise lentement lâche prise. Je me retourne vers la femme assise, et je décide d’en rester là, lorsqu’elle déclare : — Docteur, j’ai des varices pas belles, ça me lance dans la jambe, vous voulez pas regarder ?— Bien sûr, Madame, on va regarder ça, relevez la jambe de votre pantalon. Hélas, le bas du pantalon permet le passage du pied, mais se bloque sur le mollet, pas assez pour atteindre la zone veineuse. — J’enlève le pantalon Docteur me dit-elle en souriant— Oui, je pense que cela sera plus simple, mais vous pouvez remettre le haut.— Non, non ! Ça va, répond-elle en sautant de la table, et en s’abaissant pour découvrir, en faisant glisser le pantalon sur ses genoux, une paire de fesses nues et piquées de ridules et de vergetures, ses seins se balançant comme des sacs vides, comme deux pendus de longue date. Je le savais, elle ne porte pas de sous-vêtements. Son dernier vêtement ôté, elle s’assoit face à moi sur le bord de la table d’examen, très à l’aise, toute nue simplement vêtue d’une paire de mi-bas noirs tirebouchonnant, les cuisses largement ouvertes sur une forêt de poils qui lui dévorent le ...
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