1. L'année des mirabelles


    Datte: 19/09/2019, Catégories: fh, grp, fagée, extracon, extraoffre, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, voyage, collection, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, échange, Partouze / Groupe portrait, humour, voisins,

    ... porta sur sa fille, angoissée par les restructurations dans son secteur d’activité. En passant d’un pied de haricots à l’autre, Murielle ne se relevait pas. Elle écartait la jambe gauche, puis elle ramenait l’autre pour progresser en canard. Le devant du tablier était bien remonté sur ses cuisses fluettes tandis que la partie arrière rasait le sol. Pendant deux à trois secondes, à chaque avancée, j’avais donc le privilège d’avoir une vue imprenable sur l’intimité de mon amie. Elle n’avait pas jugé nécessaire de s’encombrer d’une petite culotte. La canicule, sans doute. La toison rousse était clairsemée, répartie en triangle sur le pubis qui surplombait une foufounette très étrange : deux lobes anormalement allongés, juxtaposés sur toute la longueur du minou. Cette espèce d’énorme abricot, compressé sur la largeur, débordait, vers le sol, des deux cuisses béantes. Autour d’un jus d’orange, je demandai des nouvelles de Richard car je savais qu’on lui avait changé son pacemaker pour un micro-défibrillateur. C’était une catastrophe. Le défibrillateur entrait en action au moindre effort : Richard n’osait plus tondre le gazon ni bricoler, tellement il avait peur de subir la mini-décharge de l’appareil ultra-sensible. Murielle avoua qu’elle n’était pas vraiment convaincue de la véracité des dires de son époux, qui semblait profiter de l’aubaine pour ne plus rien faire du tout dans la maison… En plus, Richard refusait maintenant, à cause de ce maudit appareil, d’assurer son devoir ...
    ... conjugal. Bien sûr, il n’avait jamais vraiment été porté sur la chose (dixit Murielle) ; mais là, c’était la cessation définitive d’activité. D’ailleurs, elle allait profiter de ma visite pour me demander un petit service : — Puisque, à ma connaissance, tu n’as pas de nouvelle copine, j’ai pensé qu’on pourrait trouver un arrangement ; une petite baise sympa, en copains, sans se prendre la tête. Tu as quelque chose contre ? N’aie pas de scrupules pour Richard ; d’abord, on prendra toutes les précautions nécessaires pour qu’il n’en sache rien et, en plus, on ne va pas le trahir : je ne veux pas devenir ta maîtresse, parce que je suis encore amoureuse de mon mari ; juste une petite séance de galipettes de temps en temps, histoire que mes instincts lubriques ne tourmentent plus mes nuits. Puisque c’était une thérapie à but humanitaire, je me portai évidemment volontaire. Le temps qu’elle enlève le papier sur la porte et qu’elle verrouille le portillon, j’étais totalement dévêtu. Murielle prit la direction des événements et m’invita à m’allonger sur le canapé du salon alors qu’elle se débarrassait de son tablier. Ses seins étaient modestes et curieusement pointus. Debout à côté du divan, elle se pencha sur mon cas, au sens propre comme au sens figuré, en m’accordant une fellation appliquée. Contente du résultat, Murielle monta sur le canapé et s’accroupit au-dessus de mon visage, les cuisses bien ouvertes. Elle sembla satisfaite de ma prestation, mettant fin aux préliminaires avant ...
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