Suis-je une salope ? (4)
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... doigts sur mes cuisses, ce qui eut pour effet de continuer à m’exciter. ― Ah oui ? Curieux, ça… dis-je en posant mon verre sur la table basse. Et quelle serait cette raison, hmmm... Monsieur le Directeur ? ajoutai-je avec un sourire complice, mes lèvres se rapprochant des siennes, mes yeux plongés dans les siens. ― Je pense que votre patron exigerait de vous que vous assumiez votre part de responsabilités, Mademoiselle, dit-il tendrement en m’embrassant doucement. ― Ça tombe bien : je suis tout à fait disposée à le faire ; et ce, dès à présent... répondis-je en murmurant, les yeux fermés. ― Voilà une excellente chose. La machine était lancée, et pour rien au monde je n’aurais laissé qui que ce soit la stopper. Nous nous embrassions tendrement ; nos langues se touchaient, jouaient ensemble. Je lui pris son verre des mains pour le poser sur la table afin que nous puissions être tous deux libres de nos mouvements. Je me plaçai à califourchon sur lui et je sentis ses mains me caresser doucement le dos, le visage, la nuque. Ses mains étaient douces, chaleureuses, ses gestes tendres ; ça promettait pour la suite… Durant notre échange de baisers devenu plus intense, je déboutonnai sa chemise. Un à un, les boutons se détachèrent tandis qu’il en faisait de même de son côté. Il se retrouva presque torse nu, juste couvert d’une chemise entièrement ouverte. La fièvre me gagnait ; mes mains caressèrent son torse plutôt normal, et mon chemisier transparent me fut ôté. Je ressentais son ...
... émoi malgré son jean ; je pense qu’il ne fallait pas trop tarder. Ma bouche descendit ; ma langue lui caressait les mamelons et continua à descendre. Je défis la boucle de sa ceinture, ouvris complètement sa braguette et délivrai de sa prison de tissu une superbe queue fièrement dressée, massive, dont la forme était semblable à celle d’une de batte de baseball. Sa queue dégageait un parfum à la fois agréable et enivrant qui me fit perdre tous mes moyens. Je me mis à lécher cette superbe bite chaude et offerte sans plus attendre, comme si c’était une délicieuse glace, la massant, la couvrant de salive, la chérissant de tout mon cœur. Je me sentais comme possédée depuis que je l’avais sentie. Une fois cette belle queue bien enduite de salive, je l’engouffrai dans ma caverne buccale pour la sucer de façon intense, bien que je ne pratique pas la gorge profonde. Ça devait lui plaire, parce que je sentais une de ses mains me caresser les cheveux et entendais ses râles de plaisir. Je le pompais avec beaucoup de douceur ; je voulais prendre mon temps, lui procurer un maximum de plaisir, et par-dessus tout, me montrer très coquine. Pendant ma fellation, je ne pouvais m’empêcher de le regarder. Son visage déformé par le plaisir et ses yeux mi-clos prouvaient mon savoir-faire. Je décidai de lui ôter son jean afin d’être libre de mes mouvements. Afin de compléter mes caresses, je passai une main pour flatter et malaxer ses couilles ; elles étaient gonflées à bloc. Tout en continuant à ...