1. Suis-je une salope ? (4)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: Hétéro

    ... le branler délicatement, je les pris dans ma main ; ma bouche quitta sa queue trempée de salive pour venir lécher et sucer ses boules bien pleines comme si c’étaient de délicieux bonbons. Sa queue tremblait, elle palpitait  ; son gland devenu violacé ressemblait à une jolie prune qui ne demandait qu’a être croquée, mais mordre dans ce fruit-là aurait été cruel ! Ma petite pipe touchait à sa fin : je sentais que si je continuais encore un peu, il éclaterait  ; mais le moment fatidique n’était pas encore venu. Ma bouche revint à la hauteur de la sienne, et il me gratifia d’un somptueux baiser. Je me replaçai à califourchon sur lui  ; nos sexes n’étaient séparés que par le tissu de mon string trempé, devenu incroyablement gênant. D’une une seule main, d’un geste rapide il dégrafa mon soutien-gorge qui libéra mes seins. Il se mit à les caresser du bout des doigts, jouant à agacer mes tétons pour les faire darder. Sans prévenir, il me prit les fesses, se leva presque d’un bond – ce qui m’arracha un cri de surprise – pour m’emmener dans ma chambre et me déposer en position allongée sur mon lit. Non seulement il avait l’air doué, mais il se révélait fort physiquement. Il m’arracha presque mon string  ; je ne me retrouvai vêtue que d’une minijupe relevée et de bas, mes chaussures étant tombées à terre au moment où il m’avait soulevée. Il téta chacun de mes seins avec une certaine gourmandise  ; moi, je ne tenais plus : je crevais d’envie qu’il s’occupe de moi, et le traitement qu’il ...
    ... m’infligeait était un délicieux supplice. Il descendit encore et encore avec sensualité et arriva enfin à mon abricot juteux et bien rasé. ― Elle est magnifique, dis donc : bien rose, rasée, de jolies lèvres, et en plus ton clito est bien dégagé, constata-t-il. ― Non, arrête de me regarder, j’aime pas ça. S’il te plaît… lui dis-je, assez gênée. dktdrruf Il souffla un peu sur mon intimité, ce qui me fit frissonner, puis il lécha mon minou, ce qui m’arracha une plainte aigüe. Quel bonheur indescriptible  ! Une de mes mains serrait les draps tandis que l’autre plaquait sa tête contre ma vulve… Il me lapait doucement, me buvait à la source, jouait avec mon clito qu’il faisait rouler avec sa langue. J’étais si sensible et en manque que mon orgasme ne mit pas longtemps à arriver. Je hurlai mon bonheur. Mes muscles se contractèrent, mes fesses se soulevèrent, je rejetai la tête en arrière ; j’avais la sensation qu’une boule de feu éclatait en moi. Essoufflée, toute pantelante, les cuisses toujours écartées, je fouillai sous les oreillers à la recherche d’une capote  ; l’ayant enfin trouvée, je la lui tendis. Il l’enfila sans attendre, plaça sa queue à l’entrée de mon intimité et plongea en moi. J’étais pleine, comme je ne l’avais jamais été avec mon fiancé. Avec des mouvements lents, il s’activa en moi, faisant presque sortir entièrement sa queue pour la remettre d’un coup sec, butant contre mon utérus. Mes jambes étreignaient sa taille ; je l’enlaçais ; nous ne faisions plus qu’un ...