Suis-je une salope ? (4)
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... malgré la séparation caoutchouteuse. Nous nous embrassions tendrement ; je couinais sous ses coups devenus puissants et rapides, le lit grinçait à notre rythme et tapait parfois contre le mur. Nos sueurs ne faisaient qu’une ; il soufflait comme un bœuf, le plaisir nous submergeait, et il était tenace malgré ma pipe. Il nous fit alors rouler sur le côté et je me retrouvai alors sur lui. Ses mains se posèrent sur mes fesses qu’il caressait tendrement pendant que je montais et descendais à un rythme frénétique. Je voulais qu’il me défonce, je voulais qu’il me prenne encore et encore… Je perdais complètement l’esprit. Il y avait quelque chose de magique dans notre rapport ; plus rien ni personne ne comptait, il n’y avait que nous. La pièce était remplie de cris, de gémissements, de grincements ; il me prenait avec une force que je n’aurais jamais crue possible, m’imprimant la cadence en me prenant les fesses. Il se redressa ; mes bras étaient autour de son cou, mes cuisses l’enserraient de nouveau, et je me rendis compte à ce moment-là que je chérissais cet homme bien plus que celui dont je prétendais toujours être follement amoureuse. Jamais personne ne m’avait apporté autant de bonheur. Tout à coup il se raidit. Je sentis sa queue vibrer ; il me serra fort contre lui et étouffa ses râles de jouissance dans ma poitrine. Je pris sa tête dans mes bras et lui caressai les cheveux en l’embrassant. Nous sommes restés ainsi un long moment à échanger de tendres baisers ...
... tandis que sa queue se ramollissait et que ma chatte la laissait sortir. Je ne m’étais jamais autant éclatée, je dois l’admettre. Après avoir repris nos esprits, il retira la capote pour la jeter, fit une légère toilette et se rhabilla. Je le raccompagnai, simplement vêtue de ma jupe et de mes bas. ― Bonne nuit, me dit-il tendrement. ― Bonne nuit à toi, et merci d’être venu ; ça m’a fait plaisir. ― Moi aussi, dit-il avec un sourire. J’espère que ça t’a plu. ― Oui, tu n’en as pas idée... Et toi ? ― Je t’ai trouvée merveilleuse ! me complimenta-t-il en m’embrassant. ― Toi aussi, tu as été fantastique, lui répondis-je. Par contre, j’ai un service à te demander : s’il te plaît, le matin, j’ai un café qui m’attend. L’attention est plaisante, mais je préfère un thé. ― Je sais que tu préfères du thé ; dorénavant, j’y ferais attention. Allez, j’y vais ! dit il en m’embrassant. On se voit demain. ― À demain. Je ne voulais pas le laisser partir, mais c’était comme ça. Je refermai la porte, ramassai le chemisier tombé à terre, me changeai, mangeai un morceau et rangeai ce qu’il y avait sur le plateau. Maintenant, ça risquait d’être dur, au boulot, de faire comme si de rien n’était... En voulant régler le réveil sur mon téléphone, je remarquai pas moins de cinq appels manqués provenant de Denis. La tête dans le cul, morte de fatigue, je décidai malgré tout de l’appeler pour le rassurer. Heureusement qu’il n’avait pas eu l’idée de débarquer à l’improviste, sinon... Une suite ?