1. Münchner Freiheit Partie 3


    Datte: 28/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    La journée, déjà bien entamée, nous a permis de constater une complicité à la ville comme au lit. Un bon repas en tête à tête sur une terrasse ombragée, puis une balade dans les rues de cette belle ville, tout en parlant de mille sujets. Mais à l’heure où les ombres s’allongent, il a bien fallu que nous nous séparions. Je l’embrasse et caresse son corps de folie à l’abri d’une porte cochère, la queue raide plaquée contre son ventre, je pourrais la prendre, là, debout, à 1,5 mètre des passants. Mais nous convenons de faire vite pour ne pas nous faire du mal. — Merci, petit français. Tu es merveilleux. Je... ne t’oublierai jamais. me dit-elle, les yeux dans les miens. — Appelle-moi. Si tu en ressens le besoin, appelle-moi. Je pourrai t’attendre, si tu le veux. Puis je dépose un baiser chaste sur ses lèvres, respire un grand coup son parfum, son odeur de femme, puis libère mon étreinte, les yeux clos pour ne pas la voir partir. Je reste là, à l’ombre de cette porte, les yeux fermés, écoutant son pas s’éloigner sur le trottoir. Une grosse part de mon être saigne, meurtri par cette douloureuse séparation. Une femme comme cela donne vraiment envie de s’enfermer avec elle en jetant la clef par la fenêtre. En traînant les pieds sur le chemin du retour, je m’arrête pour boire une bière à la terrasse d’une grande brasserie, juste avant que le soleil ne se couche. Il me reste 3 cigarettes dans mon paquet de HB — c’est une marque de blondes. Je les grille en une heure, dépité, avant de ...
    ... rentrer chez mes hôtes, le cœur dans les chaussures. Une douche et je me couche. Les jours qui suivirent furent d’une grande banalité. Déjà, je m’étais engueulé avec mon employeur pour ne pas être venu bosser la veille. Normal. Mais bon, les stigmates de ma blonde se faisaient sentir. Les copains, sympas, me tirèrent (oups !) en ville dans les Kneippen. En quelques jours, mes hormones avaient repris le dessus. Une certaine chaleur, une certaine pression envahissaient de nouveau mon bas-ventre. Mes yeux plongeaient naturellement dans les Dindrl, ces robes spécifiques que portent les serveuses, mettant en valeur leurs charmantes poitrines. Mais cours après les filles, elles te fuiront, fuis-les… et tu te branleras ! Et pourtant, c’est au travail que je trouve une alternative à mes besoins. Un de mes collègues, d’habitude en service les matins, vient de changer de groupe. C’est dans les vestiaires en nous changeant que je découvre Andonios pour la première fois. Ce beau Grec a la trentaine. Sa carrure sportive, lorsqu’il est en caleçon, prend une certaine dimension, révélant un corps d’une puissance phénoménale. Insoupçonnée jusque là sous ses fringues, sa taille mise à part, ses 1,90 mètres de muscles bandés sous sa peau très mate lui donnent une allure d’athlète de haut niveau. Il s’avère vite être un excellent collègue de travail, débordant de vie et d’humour, toujours souriant, avec un petit accent plutôt agréable. Sans pudeur ni gêne, la main emprisonnant son sexe à travers ...
«1234...8»