Münchner Freiheit Partie 3
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... parfaitement décalotté brun rose déborde de sa hampe turgescente. C’est la première fois que je remarque une odeur aussi typée sur le sexe d’un homme, pourtant très propre. Il transpire la virilité, bande comme un âne, et je vais sentir ses grosses couilles contre mes fesses dans quelques minutes, si tout se passe bien. Comme un jouet, il me tourne et me met sur le dos, prenant mes deux chevilles dans une seule de ses mains. Sans forcer, il me soulève les fesses juste en levant son bras afin de me surélever en glissant son oreiller sous mes reins, puis me ramène les genoux sur ma poitrine. Je place alors mes mains derrière mes genoux pour me maintenir. Lui, à genoux devant mes fesses offertes, prend son puissant membre en main et le place sur mon œillet trempé et déjà bien ouvert. — Va doucement, ne me déchire pas, doucement. J’ai connu les assauts de Patrick, le plus fort sexe en diamètre que mes fesses aient pu recevoir, certes. Mais les 5 premières minutes sont toujours délicates, le temps de détendre le sphincter, même si je suis demandeur. Lentement, il m’enfonce son gros gland, sûr de lui et, contrairement à ce que sa puissante charpente laisserait penser, avec respect et tendresse. Les yeux fermés pour mieux ressentir cette pénétration, je pousse pour bien m’ouvrir. J’adore la sensation irremplaçable d’une grosse bite se frayant gentiment un chemin, lorsqu’un large gland repousse les chairs qui aussitôt se referment autour de ce corps étranger… pour s’en faire un allié ...
... ! Par de petits coups, il s’immisce en moi, répétant que c’est bon. Puis ses grosses couilles rentrent lentement en contact avec mes fesses. Mon Dieu que c’est bon d’être enculé de la sorte. J’envoie une main sur le côté pour venir lui soupeser son énorme paquet incroyablement doux, le malaxe un peu au passage en lui demandant de ne pas bouger quelques instants, le temps de prendre la mesure. Puis il recommence à bouger de quelques centimètres dans mon cul bien détrempé par sa salive, et ce fort diamètre faisant rouler mon anneau me transporte de plaisir. — Ta queue est bonne, continue doucement, j’adore comme ça. Me sentant à l’aise, il gagne lentement en course. — Tu l’aimes, ma queue dans ton cul ? Moi j’aime ton cul. Je ne réponds pas, je l’apprécie, c’est une évidence. Et de ses bras noueux, sans déculer, je me retrouve sur le côté en chien de fusil, toujours assailli en de longues tirades. Mais il change toujours de position, et avant que j’aie le temps de comprendre, c’est à quatre pattes qu’il m’encule, à couilles rabattues en une série de sprints puissants, puis de longs va-et-vient. Soudain, il se retire, et je pense qu’il va peut-être jouir ! Je lui bondis dessus et le prends immédiatement en bouche en le branlant, mon autre main sous ses couilles, mais non, il n’en est pas encore là. Il me remet sur le dos, place ses pieds de chaque côté de ma tête, m’offrant une vue magnifique sur ses organes, se penche pour attraper mes jambes et les passe entre les siennes. Je ...