Münchner Freiheit Partie 3
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... son caleçon, il n’hésite pas à me répéter qu’il me trouve plutôt à son goût, lorsque nous sommes seuls fort heureusement. Il est très agréable également en dehors du boulot. Vers une heure du matin, une fois le service terminé, nous avions l’habitude de nous retrouver autour d’un verre dans les établissements voisins, le temps de décompresser. Andonios, bien qu’en couple, ne dérogeait pas à ce rituel avant de rentrer chez lui “assumer son devoir”, comme il le disait si bien. Un soir de fermeture, nous ne nous retrouvions que tous les deux en terrasse. Il était environ une heure trente du matin et en cette belle nuit d’été, nous refaisions le monde... à grand coup de Téquila. Ses capacités d’absorptions étaient peu communes et comme je m’en inquiétais, il me répondit avec un sourire grivois que l’alcool ne lui faisait pas grand-chose à part lui donner envie de “baiser”. La main sur son paquet est équivoque, son sourire ne ment pas, le message est direct. Mais voilà, on bosse ensemble, je crains qu’un dérapage ne me crée plus de problèmes que de plaisir... pourtant, il m’attire irrésistiblement. Je l’entreprends donc sur la rumeur concernant la bisexualité des Grecs, me gardant bien de lui révéler cette facette de mon individu. Le voilà parti à m’expliquer son mode de fonctionnement en toute impudeur, n’hésitant pas à me dire qu’il prenait autant de plaisir entre les fesses d’un homme que celles d’une femme. Si les deux étaient certes différents, en général, les hommes ...
... étaient plus chauds, plus participatifs. Je lui demande ses origines. Sa mère est libanaise, son père grec, beau mélange ! Peuple au sang chaud, j’ai souvent entendu les plaisanteries grivoises à propos des Grecs. Quant aux Libanais, ils ont la réputation d’être fortement membrés. Je l’ai d’ailleurs vérifié. L’ayant vu brandir son mandrin dans les vestiaires, il semblerait que mon échantillonnage soit plutôt… représentatif ! L’heure avançait, l’alcool et la fatigue se combinaient dangereusement, je voulais rentrer. Je réglais et demandais à Andonios s’il voulait profiter de mon taxi, ce qu’il accepta à condition que je vienne boire un verre chez lui. Au point où j’en étais... Et nous marchons pour aller jusqu’aux taxis. Il ne lâche pas l’affaire, me dit que mon cul l’excite et qu’il est persuadé que j’aime ça. Sa femme est absente quelques jours, que si l’envie de tenter l’expérience était là, je ne le regretterais pas. Déjà qu’il me plaît, là, j’avoue jouer les vierges outragées pour sauver la face. Mais me retrouver sous les assauts de ce beau mâle... À peine dans le taxi, il prend ma main pour la poser sur son pantalon, usant de tous les stratagèmes pour arriver à son but. Il bande et c’est du sérieux. Une grosse barre tend la toile jusqu’en haut de sa poche, un gros joujou pour adulte plutôt averti. — Ça te plaît pas, un bon morceau comme ça ? Je lui réponds par l’affirmative, lui expliquant qu’en effet, elle ne me laisse pas insensible. L’alcool a raison de mes verrous, je ...