Münchner Freiheit Partie 3
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... révèle mon côté bi. D’ailleurs, mes doigts ne peuvent s’en séparer. Pendant que notre chauffeur traverse la ville dans une totale indifférence, Andonios déboutonne son falzar pour exhiber son impressionnant gourdin. D’abord l’alcool, et maintenant, la chaleur de ce chibre que mes doigts étreignent, c’en est trop pour résister. Je me jette sur son gros nœud et l’embouche comme je peux. Mes lèvres le décalottent et son goût puissant se révèle à ma bouche vorace. Je pompe sa queue avec appétit, faisant fi de l’endroit où nous sommes, sentant à peine sa main pétrir mes fesses. — Tu aimes vraiment, je le savais. Tu vas voir chez moi. annonce-t-il. Tu vas apprécier comme je baise. Son petit accent, sa franchise… sa proposition. J’accepte, mais en posant mes conditions : pas de violence. S’il devient trop brutal, je lui explique que je m’en irai. Il brandit sa queue lourde pour rajouter : — Pas brutal ! Seulement grosse et dure ! Ça, je connais bien, les grosses queues. Avec Patrick, un ancien amant hypermembré, j’ai pu apprendre à les accepter. Le temps de refermer son pantalon, nous arrivons dans sa rue. Je le suis jusqu’au deuxième étage. Mon cœur bat fort, j’ai toujours un peu de trac dans ce genre de configuration, impossible de savoir où l’on met les pieds tant que l’on n’a pas repéré les lieux. Mais l’appartement est visiblement très propre. À peine la porte est-elle franchie que sa main claque mon cul, me disant qu’il en a très envie. Nous nous déshabillons en quelques ...
... secondes, avides de luxure, de sensations. Je découvre ce colosse à poils, mais ne prends pas le temps de le dévisager. Il me faut cette queue, de partout et sans délai. J’ai besoin de la sucer et pour cela lui impose de se coucher pour venir me mettre en 69, présentant mes fesses au-dessus de son visage. Délicatement, j’embouche sa belle queue encore molle, son long prépuce en faisant une papillote géante. Ma main prend ses couilles et les caresse, jouant avec ce paquet lui aussi XXL, mais d’une infinie douceur. Son sexe sent fort le mâle propre, tandis que mes lèvres coulissent sur cet épais cylindre qui de nouveau s’allonge. Ma langue pénètre l’extrémité de son prépuce et danse autour du méat, puis glisse entre la peau et la surface du gland, le puissant goût musqué de son sexe envahissant mes papilles. — Suce bien, encore, suce bien, après je te baise longtemps. me dit-il en continuant de me lécher l’anus, me claquant gentiment sa main sur les fesses de temps à autre. Presque bandé, j’aspire très fort son prépuce joueur, puis de mes lèvres serrées, je le décalotte en l’engouffrant au maximum. Il souffle, m’en claque encore une, et enfonce sa langue en réponse à mes attaques. Je le pompe avec beaucoup de salive, le prenant le plus loin possible. Mon nez s’enfonce alors dans les plis de ses bourses. En guise de transition, j’essaie de lui gober une de ses grosses balles, mais seule la peau vient dans ma bouche lorsque j’aspire. Il bande dur comme de l’acier maintenant, son gland ...