Münchner Freiheit Partie 3
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... suis en position d’autofellation, ni plus ni moins, et m’écartant les fesses, il lâche un long filet de salive dans mon trou béant, et m’enfile sa bite de titan bien droit en pliant bien ses jambes. Wouaaah, cette sensation d’extase est incroyable. Il me remplit en venant me coiffer le sexe de ses bourses, m’offrant la vue également de cette masse venant s’écraser au contact. Une petite claque sur la croupe n’est pas des plus désagréables. — Tu te rends compte de ce que tu allais manquer ? lance-t’il. Mais je suis trop occupé par les sensations qui me submergent pour lui répondre. il me pourfend ainsi un long moment. Lorsqu’il se retire, je m’affale sur le lit, content de me déplier un peu, même si le sentir s’enfoncer jusque dans ma gorge tout en voyant cette belle grosse paire est électrifiant ! Mais pas de répit. Agenouillé au sol devant le lit, c’est mes jambes qu’il tire et place de part et d’autre de ses hanches, place ses mains sous mes fesses en me tirant dans le vide. Je me retrouve en appui sur mes coudes, le cul largement écarté par ses gros battoirs, comme si je ne pesais rien. Et lorsqu’il baisse ses bras, comme un bilboquet je m’empale sur sa queue droite est raide. — Tu baises bien, quelle queue tu as ! Dans cette posture, son bout est en appui constant contre ma prostate, j’ai l’impression qu’il est directement dans mon ventre. Au rythme de ses bras puissants, il me baise solidement, m’empalant jusqu’au pubis. Ma queue gonfle sans vraiment bander, mes ...
... burnes sautent à chaque voyage, ma jouissance grimpe de plus en plus. — N’arrête surtout pas. Oui, je vais jouir. Oui, continue, s’il te plaît, viens ! Jouis avec moi, viens dans mon ventre ! Et il ne s’arrête pas, son infatigable musculature assure et tout en écartelant bien mes deux globes, il me pourfend de son membre. — Tu aimes le Grec, hein ? Tu vas me faire jouir. Tu me veux en toi ? — Oui, viens ! Ses mots me stigmatisent, et alors qu’il intensifie sa baise pour enfin jouir, son prodigieux gland trouve mon point sensible et déclenche une agréable brûlure tordant mon ventre, avant que celui-ci ne se creuse dans un puissant spasme. Mon sphincter anal enserre alors sa belle bite dans un orgasme spontané. Mon sperme ne gicle pas, mais sous la pression, l’appui régulier de cette intense pénétration, il coule en continu de ma queue qui elle, saute de gauche à droite, et arrose ainsi nos deux ventres. Je râle en continu, lui répétant qu’il est trop bon, que j’aime sa queue, et sûrement plein d’autres choses dont je n’ai plus conscience tant je nage entre deux mondes. Il me remonte les genoux sur mon ventre en se redressant, mes mollets sur ses épaules, m’écrasant de tout son poids sur le lit. Sa queue me paraît démesurée, obèse, tant il me pilonne, ses couilles me frappant si fort les fesses que je ne sens plus les miennes écrasées contre son pubis. Je suppose que les mots grecs qu’il crie à quelques centimètres de mon visage sont des mots crus, l’expression de son plaisir ! ...