1. Münchner Freiheit Partie 3


    Datte: 28/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... pubiens lorsqu’il est tout au fond de ma gorge, pour bien m’imprégner de son odeur musquée. Il force mes lèvres par son fort diamètre, s’imposant à chaque descente entre mes dents. — Tu suces très bien. Sa queue au goût de mâle hyperviril me transporte, je le sucerais bien jusqu’à ce qu’il m’envoie toute la sauce, mais il semble décidé à me reprendre. Et il le fait si bien, c’est tellement rare. Pragmatique, il trempe son doigt dans l’huile d’olive d’un des plats restés sur la table, et me le met au cul en étalant bien l’huile sur ma rondelle. Allongé derrière moi, il me soulève la jambe très haut pour bien m’ouvrir les fesses. En quelques coups de bassin, son dard bandé trouve la porte de mes reins, et s’y enfonce tout doucement. Je ne ressens aucune douleur, mais véritablement un immense plaisir lorsque mes chairs sont repoussées pour lui céder du terrain. — L’amour, pas baiser. Juste faire l’amour. me glisse-t-il à voix basse en me remplissant l’ampoule de son volumineux gourdin. Touché par sa douceur, il vient de sodomiser ma sensibilité au passage ; je repense à la délicatesse de Franck lorsqu’il m’enculait, son sexe ne me délivrait que du bonheur. Il aimait me remplir de désir, me faire le désirer, pour mieux atteindre le nirvana. À l’identique, mon arabo-grec vient de me déployer toute sa puissance, toute sa virilité lors de ce premier rapport. Maintenant, il semble vouloir me satisfaire. — Ouiiii… tout doucement, j’adore comme ça. Ne me baise pas fort, prends-moi ...
    ... longtemps. Alors que j’attends qu’il commence à bouger, il se retire, s’enduit copieusement la bite d’huile d’olive, reprend exactement la même posture et se glisse en moi tout doucement jusqu’à la garde. Il va me faire l’amour. Les 30 minutes qui suivent, il me fait gémir, parfois crier de plaisir, me faisant sentir toute sa longueur, ses belles couilles dans ma main entre mes jambes, les ongles de mon autre main plantés dans sa fesse. Mon sang bat à mes tempes, mon souffle est court, mes muscles anaux le massent puissamment, ce n’est que jouissance pour moi, mon cul et sa bite en osmose le temps d’un acte d’une infinie tendresse, paradoxalement sensuelle en regard de la première partie de soirée. Lorsqu’il me dit qu’il veut jouir, il se transforme presque en vibromasseur en me poussant les fesses de son bassin, sa queue plantée en moi, son gland juste derrière mon nombril. J’en ai les larmes aux yeux, je me revois sous le splendide corps de l’homme qui a partagé ma vie quelques années, et qui savait me donner tant de plaisir, toujours avec beaucoup de douceur. Après lui, je n’ai jamais retrouvé d’hommes m’offrant des rapports aussi harmonieux. Andonios me surprend d’autant plus. Il gonfle, se dilate, mais je le supplie d’attendre, je veux le faire jouir entre mes lèvres. Je me dégage, presque à regret tant il me fait vibrer en étant en moi. Resté docilement sur le côté, la verge palpitante, je me place en 69 entre ses jambes, ma tête sur sa cuisse, ses bourses dans ma main et ...
«12...5678»