1. Une auberge pas comme les autres


    Datte: 29/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, humilié(e), couche, Oral jeu, uro,

    ... Merci ! Ca a été merveilleux." Elle se jeta alors à mon cou et m’embrassa gauchement. À peine avait-elle fermé la porte que le courant revint. Elle avait pensé à remettre le fusible. Je me retournai vers le lit. Il était dans un état déplorable, les draps et la couverture pêle-mêle au pied du lit, l’alèse en caoutchouc toute froissée, gardant encore dans ses plis quelques gouttes jaunes. J’inspectais le drap sous l’alèse. Dieu merci, il n’était pas mouillé. Je ramassais les couches en cellulose qui avaient servi à éponger le pipi sous la jeune fille et voulus nettoyer un peu mieux l’alèse. Je l’étendis donc sur le lit. Je fus horrifié de voir des traces sanglantes maculer la blancheur du drap en caoutchouc. Bien sûr ! J’aurais dû y penser avant. Qu’arriverait t’il, si elle était enceinte ? Je nettoyai l’alèse comme je pus et m’étendis après par-dessus pour réfléchir. Le plaisir ressenti, aussi fort qu’il ait été, ne correspondait plus ce matin aux risques encourus par la jeune fille en temps ordinaire, lorsqu’il était prévu que je passais la nuit à l’extérieur, j’avais toujours des préservatifs dans ma trousse de toilette, qui ne servaient d’ailleurs jamais. Et pour une fois ! Machinalement, je glissais ma main sous la culotte en caoutchouc et me caressais jusqu’à ce que la tension nerveuse disparaisse, puis je m’endormais quelques heures. Ce fut le bruit des camions qui quittaient le parking qui me réveilla, Il était huit heures à ma montre. Pensant au rendez-vous que je ...
    ... n’aurais pas manqué pour tout l’or du monde, je fis une toilette sommaire, laissant les couches en cellulose dans le lavabo avant de descendre. Je me rendis dans la salle de restaurant pour prendre mon petit déjeuner. Il me fut servi par la patronne. "Vous avez bien dormi ?" Me demanda t’elle." Vous pourrez laisser les serviettes éponges souillées dans le lavabo, ainsi que les autres affaires ma fille s’en chargera !" "Non ! Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je les ferai laver à la maison et je vous les rapporterai lors de mon prochain passage. Je passe assez souvent par ici." "Si c’est comme çà, c’est très bien. Tiens ! Voilà ma fille cadette, prête pour aller à l’école." Une jeune fille entra dans la salle et se dirigea vers sa mère. Elle ne ressemblait pas du tout à sa sœur. Elle était petite, assez rondelette, une figure poupine entourée de nattes. Bref, ne faisant pas ses quinze ans. Je l’aurais plutôt vu, une sucette dans la bouche, un bavoir et une barboteuse, assise dans un parc. C’était le gros bébé qu’elle était en réalité si on tenait compte de ce qu’avait dit sa sœur. — "Viens plus près que je regarde quelque chose !", Lui dit sa mère. Alors, oubliant ma présence, elle souleva la robe de sa fille, découvrant sa culotte.— "C’est bien ce que je pensais ! Ta sœur était toute troublée ce matin, et elle t’a laissé ta culotte en caoutchouc de la nuit. A-t-elle au moins changé tes couches ?" Déboutonnant un côté de la culotte ouvrante que portait sa fille, elle passa sa ...
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