Une auberge pas comme les autres
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
humilié(e),
couche,
Oral
jeu,
uro,
... voulait, et d’autre part c’était le seul moyen de mettre fin à une situation pénible. "Maintenant, mettez votre voiture en marche et roulez jusqu’à ce que je vous dise d’arrêter. N’allez pas trop vite et tournez à droite aussitôt le panneau qu’on aperçoit là-bas." C’était un chemin empierré assez praticable, malgré la pluie diluvienne de la veille. — "A cent mètres, il y a une carrière abandonnée, vous vous arrêterez !" "Mais…" "Non, ne dites rien. Vous avez promis !" Le coin était tranquille et semblait peu fréquenté. Elle descendit de voiture, ouvrit ma portière et dit : — "Poussez-vous !" Et elle prit ma place au volant. "Maintenant, écoutez-moi, sans m’interrompre." Continua-t-elle d’une voix décidée. "Maman vous a bien dit que vous aviez fait de moi un bébé. C’est vrai et j’en suis folle de joie. Mais ne vous a-t-elle pas dit aussi que vous aviez fait de moi une femme ? Jusqu’alors on s’est occupé du bébé. Il faut s’occuper maintenant de la femme. Et comme vous ne semblez pas avoir l’envie de le faire, malgré que vous ayez l’accessoire nécessaire", dit-elle en souriant et en posant la main sur l’objet en question, "je devrai m’en occuper moi-même, mais avec votre concours." J’étais stupéfait de telles paroles. "Vous semblez étonné ? Vous vous demandez sans doute qui a pu changer ainsi en quelques heures une petite oie blanche en une telle dévergondée ? C’est vous le seul responsable, vous m’avez libérée de tous mes complexes, et vous avez su me faire connaître les ...
... plaisirs de l’amour physique dès la première fois et je veux aujourd’hui les partager une nouvelle fois avec vous." Tout en parlant, elle avait commencé à déboutonner mon pantalon et fit descendre la fermeture éclair, un brouillard de bien-être et de volupté m’enveloppa tout entier. Je me sentis glisser sur l’avant du siège et pour lui faciliter encore plus sa lente exploration, j’inclinais mon dossier au maximum. Ayant écarté mon pantalon, elle dégagea le devant de ma culotte en caoutchouc et soulevant la ceinture élastique, elle glissa sa main à l’intérieur. Elle sembla tout d’abord vouloir prendre la mesure de mon sexe prisonnier de la couche, qu’elle libéra en défaisant les deux épingles de sûreté et en repoussant le tissu humide dans le fond de la culotte. Puis de ses mains, elle fit glisser la culotte en caoutchouc jusqu’aux hanches. Ma verge dégagée se dressa droite comme un mât. Elle l’effleura de ses doigts et je poussais un cri : "Non ! Je vous en supplie, arrêtez ! Si vous continuez, je vais jouir !" "Ah non ! Et moi alors !" Et sans attendre, sa robe écartée, elle m’enjamba et s’assit à califourchon sur mes cuisses. Se soulevant, elle défit d’un seul côté les boutons-pressions du bas et celui du milieu de sa culotte ouvrante et tira couche et culotte sur le côté, découvrant, à ma vue, sa toison toute humide. Elle s’avança légèrement, et prenant ma verge dans sa main, elle l’engagea entre ses cuisses. Elle donna ensuite quelques coups de reins, frottant les lèvres de son ...