Une auberge pas comme les autres
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
humilié(e),
couche,
Oral
jeu,
uro,
... sexe contre le mien, lubrifiant du même coup ma verge de la liqueur qui coulait de sa fente. Elle gémit : "Soulevez-vous un peu ! Prenez appui sur moi." Lui dis-je d’une voix rauque. Puis la prenant par les fesses, je l’attirai sur moi. Je guidai ma verge à l’entrée de son vagin et en soulevant mon bassin j’engageais l’extrémité à l’entrée de son fourreau brûlant. En appuyant de nouveau sur ses fesses, je l’invitai à redescendre et doucement elle s’empala sur ma verge dressée qui bientôt disparut peu à peu dans son ventre. D’elle-même, elle s’anima d’un mouvement ascendant et descendant, limité en bas par la culotte en caoutchouc qui empêchait une pénétration plus profonde. Sentant la poussée de la sève monter de mes reins, je l’immobilisai de mes deux mains autour de sa taille et dans un concert de râles et de gémissements je me déversais en elle. Elle revint sur terre, son corps écrasé contre le mien, sa tête posée sur mon épaule. Depuis quelques instants, je sentais couler un liquide chaud sur ma verge, déjà molle entre mes cuisses. Je glissais ma main entre nos deux corps. C’était incroyable. Sans aucun doute, elle faisait pipi, sa vessie se vidait par de longs jets saccadés, exactement comme si elle éjaculait à son tour. La sensation était délicieuse et pour rien nu monde j’aurais arrêté cette "douche dorée". Je me félicitais toutefois d’avoir gardé ma culotte en caoutchouc qui retenait ce flot sous mes fesses, préservant ainsi le siège de la voiture d’une humidité ...
... gênante. Elle gémissait comme un bébé heureux de se soulager, tout en suçotant le lobe de mon oreille. Je m’inquiétai du temps écoulé et à regret je la sortis de son rêve en la repoussant doucement, voulant ignorer ses petits seins dressés orgueilleusement ne cherchant que des caresses. Elle se rendit compte alors seulement des dernières gouttes qui coulaient de sa fente et avec un petit cri, elle porta sa main entre ses cuisses remettant en place couche et culotte en plastique. "Je suis honteuse de ce qui m’arrive." Dit-elle avec un sourire timide, "Je n’ai ressenti que les ondes de plaisir qui labouraient mon ventre." "Ne regrettez surtout rien, bien au contraire, c’était délicieux d’être mouillé par vous." Elle reboutonna très rapidement sa robe, remonta ma culotte en caoutchouc. Comme je me relevais pour descendre de voiture afin de me réajuster, je sentis la mare chaude prisonnière sous mes fesses de la culotte imperméable se déplacer vers l’avant. Si je me levais, c’était assurément la fuite aux élastiques des cuisses au grand dam de mon pantalon. À mon air gêné, elle se rendit compte que quelque chose n’allait pas. Doublement gêné, je lui demandais de me donner deux couches afin d’étancher l’intérieur de ma culotte. Les grands moments d’intimité totale étaient passés, et elle eut la gentillesse de s’éloigner et de me laisser seul pour me changer, ce qui lut assez difficile étant donné l’étroitesse de l’habitacle de la voiture. Peu de temps après nous reprenions le chemin ...