1. Une auberge pas comme les autres


    Datte: 29/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, humilié(e), couche, Oral jeu, uro,

    ... très souvent dans sa culotte au cours de la journée. Ma mère n’ayant pas le temps de s’occuper d’elle, lui met encore des couches et une culotte en plastique comme à un bébé. À l’époque j’étais arrivée à l’envier de pouvoir se mouiller "officiellement" et bien sur, j’avais maintes fois essayer, en cachette de mettre ses culottes imperméables. Malheureusement, elles étaient toujours trop petites. Un jour j’entendis ma mère dire qu’elle allait en ville pour aller acheter des culottes plus grandes pour ma sœur, celles qu’elle avait lui serrant trop les cuisses. Devant mon étonnement de savoir qu’il existait des culottes de bébé pour des enfants de 12 et 13 ans, ma mère me précisa que ces culottes existaient dans toutes les tailles, même pour les adultes. Dès ce jour-là, je mûris un plan pour forcer ma mère à m’acheter une de ces culottes en plastique à ma taille. Un jour que j’étais à la maison et que je portais une culotte périodique, en omettant volontairement de placer une garniture je m’arrangeai pour tacher fortement le derrière de ma robe. Ma mère s’aperçut tout de suite de l’accident et me reprocha de ne pas prendre assez de précaution. Je lui dis alors que cela venait certainement du manque d’étanchéité de la culotte qui n’était pas, à mon avis, suffisamment imperméable, en insistant sur le fait que j’avais encore de la chance que cela ne se soit pas produit à l’extérieur de la maison. Je pense maintenant que c’est ce dernier point qui décida ma mère à m’acheter le ...
    ... lendemain une culotte identique à celles de ma sœur dans la taille "adolescent". De ce jour-là, je fis sans m’en rendre compte, une consommation anormale de serviettes hygiéniques et pour la nuit de couches destinées à ma sœur. Jamais je n’avais été aussi heureuse de pouvoir me mouiller sans risque. Ma mère dut se douter de quelque chose, étant donné la nécessité de renouveler très souvent le stock de couches de bébé, utilisées en principe uniquement par ma sœur. Un matin, sans prévenir, elle entra dans ma chambre alors que j’étais encore au lit, souleva drap et la couverture, arracha ma culotte de pyjama pour découvrir la culotte de plastique garnie de couches entièrement trempées. Je reçus la correction de ma vie et inutile de préciser que les culottes de plastique disparurent de mon armoire. Pour me punir de mes saletés, ma mère m’obligea alors de m’occuper, seule, de ma sœur. Loin d’être une punition, ce fut pour moi un nouveau plaisir que de lui retirer dans la journée et le matin à son réveil, ses couches et sa culotte de plastique toutes trempées, plaisir que traduisait par un état permanent d’humidité de mes culottes de coton Petit Bateau. Comme j’avais accès au trousseau de bébé de ma sœur, un soir, alors que je venais de la langer pour la nuit, je m’emparais de l’alèse en caoutchouc qui garnissait son lit et partis me coucher avec. "Dans mon lit, je m’étendis, d’abord nue, sur le caoutchouc. Puis, une fois chauffée et souple, je le rabattais entre mes cuisses et ...
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