Une auberge pas comme les autres
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
humilié(e),
couche,
Oral
jeu,
uro,
... l’étendis sur mon ventre, frottant mon petit sexe contre le caoutchouc moelleux. Le plaisir fut d’une intensité explosive et quand je repris mes esprits, je m’aperçut que j’avais mouillé abondamment le caoutchouc sans avoir fait pipi. Je me levai et allai chercher une grande serviette éponge pour essuyer le caoutchouc, et que je plaçais ensuite entre mes cuisses en guise de couche. Le lendemain matin, je m’éveillais trempée et folle de joie. Par la suite, je renouvelais très souvent cette expérience, prenant bien soin de remettre l’alèse dans le lit de ma sœur quand j’allais la changer, à son réveil. Toutefois, je regrettais les jours où j’avais pu mouiller ma culotte et mes couches, soit assise à l’école, soit en marchant, au cours de mes promenades. "A différentes reprises, je dus aller en ville pour acheter les couches et les culottes de plastique de ma sœur qui, aujourd’hui est encore langée comme un bébé. J’ai eu l’occasion, dans ce magasin spécialisé, de voir et de toucher des culottes à ma taille, mais, malgré mon envie de m’en procurer une, j’ai toujours renoncé par crainte et timidité. Pour assouvir mes plaisirs solitaires et souvent impérieux je n’ai donc maintenant que les caoutchoucs qui protègent le lit de ma sœur. Aussi comprenez ma joie, lorsque j’ai vu dans le lavabo, cette magnifique culotte en caoutchouc transparent, dans laquelle on peut se voir jouir en se caressant à travers. Je n’ai pensé qu’au plaisir de la porter et à rien d’autre. Maintenant, vous ...
... connaissez mon histoire. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis heureuse de vous l’avoir racontée." Cette confession m’avait mis dans un état d’excitation douloureuse. Mon membre tendu, comprimé par la couche, déformait très visiblement le devant de mon pantalon que je ne dérobais pas à son regard lorsque je me levai du lit. Comme elle faisait mine de se lever à son tour, toute rose d’émotion et le corsage à demi-déboutonné, je lui dis : "Non, ne bougez pas, vous êtes encore toute remuée. Il vaudrait mieux que vous restiez encore un peu, ne serait-ce que pour faire disparaître ces rougeurs qui enlaidissent votre joli visage. À moins, bien sûr que votre mère vous attende ou que vous ayez à vous occuper de votre sœur." "Non, c’est fini. En bas tout était déjà fermé quand je suis montée, ma mère est certainement couchée. Quant à ma sœur, je lui ai changé ses couches pour la nuit en allant chercher les vôtres, et je n’ai pas loin pour aller aussi me coucher, ma chambre est la voisine de la vôtre." "Bon ! Alors, étendez-vous quelques minutes. Oui, sur le caoutchouc, vous allez ainsi le chauffer à ma place et moi, pendant ce temps je vais foire un petit brin de toilette. Je prends juste le nécessaire," dis-je en saisissant la serviette posée sur le lit, et je disparus derrière le paravent. Après m’être déshabillé, je descendis ma culotte en caoutchouc pour pouvoir passer entre mes cuisses la serviette éponge pliée en quatre et la remontais aussitôt. À mon avis, l’épaisseur du tissu ...