Sus à la culotte
Datte: 02/10/2019,
Catégories:
noculotte,
grp,
Collègues / Travail
hotel,
caférestau,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
humour,
... arguments resplendissants, composer son port d’infante de jambes de reine, d’une croupe majestueuse et d’une gorge souveraine couronnée par un royal minois. Pour être dame anoblie, elle n’en est pas moins étonnante salope et, même si elle n’y sacrifie en aucun cas avec la valetaille de sa maison, elle apprécie particulièrement les amours ancillaires. Encore peut-on douter de ce que signifie ancillaire en son esprit où ce mot pourrait trouver son sens avec tout ce qui ne s’illustre pas d’un « de ». Chez ceux qu’elle daigne élever au rang d’amis, elle a par contre épuisé les faveurs des personnels masculins de service. Nombre de majordomes, de chauffeurs ou de jardiniers pourraient ainsi se vanter de lui avoir dressé couvert, fourbi les pare-chocs ou visité sa corolle de leur pistil. Elle n’a jamais trop su ce qui, à l’issue de ces joutes improvisées et fort peu discrètes, la fait jouir : la prestation elle-même ou l’air abasourdi et ébloui des protagonistes. Bien sûr, ces fredaines demeurent sans lendemain ; elle exclut toute récidive et assène toujours à leurs fortunés attributaires un mot vif et obligeant pour les remettre à leur place : — Mon petit Robert vous serez gentil d’essuyer le sperme dont vous avez maculé ma chaussure. Elle suffoquerait de honte à l’idée que l’un de ces rustres puisse un jour l’appeler « chérie ». En la découvrant Julyne ne peut réprimer un sourire agacé : — Hortense, tu ne pouvais pas t’habiller normalement ! Faut-il obligatoirement que tu ...
... affiches ton rang ?— Très chère sœurette, nous n’avons rien d’autre à nous mettre ! D’ailleurs nous ne voyons pas ce que vous reprochez à ces vêtements qui se bornent à être élégants. La jupe est peut-être un peu courte et haut fendue, avouez toutefois que nous sommes bien désirable. Reconnaissez aussi que le rôle essentiel sinon unique d’un vêtement est de transcender nos formes et de suggérer notre nudité. Julyne sourit à nouveau. — Et tu ne saurais te passer de tout cet or qui t’enlumine ? Qu’est-ce que tu peux être vieille France ! D’un geste énervé, Hortense retire bracelets et colliers. — Oh, s’il ne tient qu’à ça… et puis après tout pourquoi pas ça… Devant elle, devant Léon, le chauffeur qui attend et ne bronche pas, elle relève sa robe et enlève sa culotte. — Voilà, pour faire bonne mesure ! Je te l’offre Julyne et tu noteras que c’est duTribade. Pendant le court trajet, elle rumine sa riposte et ne desserre pas les dents. «Qu’est-ce qu’elle s’imagine celle-là. Déjà qu’elle nous tutoie, il ne faudrait pas que, sous prétexte de fréquenter trois prétendus artistes branchés, elle se figure être seule libérée ! » À peine le chauffeur les a-t-il déposées en ville qu’elle entraîne sa sœur dans la première boutique de vêtements venue, une échoppe plutôt destinée aux jeunes filles qu’aux femmes mûres. Vingt minutes plus tard, elles en ressortent et Mme de Fraisconcul arbore une minijupe au ras de la culotte, sauf qu’en l’occurrence de culotte il n’est point, et un chemisier en voile ...