Soirée viagra avec Laure - Histoires de Sexe

Soirée viagra avec Laure

... à droite, à gauche maintenant qu’elle est molle, se prend de fou rire, puis tire dessus, apparemment vraiment fort comme pour l’allonger. Toute l’agitation de son beau minois, les tressautements de ses petits seins alors qu’elle martyrise son nouvel appendice, me font un drôle d’effet. — Eh ! Ce n’est pas un jouet, ce n’est qu’un prêt, figure-toi, alors je te surveille ! dis-je alors.— Pareil pour toi, carottes et concombres rigoureusement interdits !— Ah ! elle est bonne celle là ! Ça ne m’avait même pas effleuré l’esprit !— T’as raison ! J’te crois pas ! dit-elle. Tiens, j’appellerais bien ma copine Fabienne.— Pas question ! Soirée à deux non transformable, pas pensable, même pas en rêve et vu notre état… je réponds, définitif. Laure s’allonge, prend un oreiller, relève les bras en mettant les mains sous la tête, souffle, se calme, regarde en fronçant les sourcils le petit bout rabougris au repos, se caresse un sein, puis se gratte les couilles, se concentre, respire profondément, prend un air sérieux. Elle me jette alors : — Je lui demande de bander et ça bande pas !— Concentre-toi, pense que tu vas mouiller, ça devrait marcher, dis-je en m’allongeant sur le lit. Toujours allongés côte à côte, sans se consulter, voilà qu’on s’explore chacun. C’est-à-dire que l’on fouille, cherche, touche, palpe. Pas mutuellement, chacun le sien en quelque sorte. — C’est mou. Dis-moi des choses gentilles, demande Laure.— Non, pour faire grossir une queue, ce n’est pas des choses gentilles ...

... qu’il faut dire, c’est des choses… imagées, grasses si possible !— Mais non, c’est à ma tête que tu parles, t’as toujours rien compris, c’est ta voix chaude qui me fait mouiller et maintenant elle va me faire bander, hi hi !— Je n’aime que toi, m’entendis-je répondre.— Trouve mieux.— Je mouille pour toi, tiens, en ce moment, je sens que ça le fait !— Très drôle, alors non, si tu m’empêches de me concentrer, je vais bander mou, comme il arrive parfois à certains !— C’est sûr que la vision de cette queue molle, tu pourrais faire un effort, voilà que je me sens désexcité. Et continue ainsi notre déconnade verbale. Avec la voix, les intonations gaies, chantantes et si féminines de Laure « je vais bander mou » est des plus cocasse. S’étant promis d’en tirer le maximum de cette étrangeté, nous poursuivons. — C’est chaud, ça bouge, c’est un peu la même sensation de chaleur que celle que je connaissais déjà, dit Laure en massant doucement sa queue.— Moi aussi, ça fait un peu pareil, répondis-je, mais c’est à l’intérieur.— Ah, ça y est, ça bouge, ça gonfle, ça s’allonge dans la main, exactement comme quand je m’occupe de toi.— Normal, je réponds, pendant que je ne puis me décider si ce clitoris est trop sensible ou pas assez : il ne me semble jamais juste comme il faut, bizarre ce truc. En fait nous n’avons pas besoin d’explications, ni de dire : « fais comme ci, fais comme ça », non, pas la peine, on s’occupait déjà si bien l’un de l’autre lors de nos caresses mutuelles, fort de notre ...