1. Soirée viagra avec Laure


    Datte: 06/10/2019, Catégories: fh, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Transexuels Masturbation Oral pénétratio, fantastiqu,

    ... récente affinité, pas besoin de cours. — Ouah, c’est génial comme sensation, j’ai un gros clitoris de vingt centimètres de long, c’est chaud, c’est lourd, c’est chaud, hum ! je me touche, super, hum ! les mecs, les salauds : ça fait du bien tout du long ! Ah, tiens, ça fait presque mal, c’est dur, ça serre… déblatère Laure, sans s’arrêter.— On se calme ! D’abord, on est deux et je t’interdis de te branler vite fait… comment dire, bon, faut pas gâcher ! Et puis ça doit plutôt faire quinze centimètres et, non, ça fait pas mal, tu n’as pas l’habitude.— Si, ça fait mal !— Non !— Si !— Bon. Je finis par accepter son impression, on ne va pas y passer la nuit, et si ça faisait mal ça se saurait. Je reprends mon exploration et caresse un peu tout. Je n’osais pas faire cela avec Laure, mais maintenant, j’explore et, pensant au retour à l’état normal, je dois apprendre tant que ça dure, afin qu’après, je puisse la satisfaire comme jamais, comme aucun autre ne pourra. Je commente : — Ouais, ça fait bizarre, ça mouille, c’est humide, des petites tensions, des gonflements, des tiraillements, rien d’extraordinaire : à part ce petit bout de gland qui me semble fait de dynamite, je ne trouve pas grand plaisir à me trifouiller tout ça.— Dis-donc, un peu de respect, non mais ! Envers un corps de rêve, cette partie là en particulier. Et puis, patience, ça prend du temps. Et calmos avec le clito, ne va pas me l’irriter prématurément, est-ce que je te ramone à sec moi ? La nuit sera longue ! Ce ...
    ... qu’il y a de bien avec Laure, ce sont ces petites joutes verbales, poétiques, polémiques, polissonnes, au franc parler certain. Alors, dans cette situation, elle a vraiment l’air de s’éclater. Pendant ces échanges intéressants, je me suis passé une main sous les fesses. C’est bien mouillé, comme l’est facilement Laure, ou plutôt son corps, que j’essaye de ressentir en ce moment. La main droite sur le clitoris, la gauche, par-dessous, un doigt dans le trou. Plop, ça rentre si facilement, que je ne ressens… pratiquement rien. Ben mince alors, pourtant, ça m’arrive de commencer par un doigt avec Laure, mais je ne savais pas que la sensation était quasiment imperceptible, comme si j’avais rentré une allumette. Rêveur de cette déception, le matelas commence à s’agiter : clac, clac, clac… Laure s’entreprend la queue façon "adolescent impatient" ! — Oh oh, doucement, où tu vas comme ça !?! j’interviens. Ah non ! Et c’est toi qui disais tout à l’heure que la nuit serait longue. Mais faut se calmer, espèce de jeune mâle en rut !— Si, si, j’ai envie, j’ai envie, tu ne peux pas savoir, comment dire, j’ai envie d’envie, j’ai envie de sentir quand ça sort, que ça coule, que ça gicle, hum ! ce que j’en ai envie de cajoler mon… enfin ce gros bout tendu, qu’est-ce que c’est dur, et… ah, tiens, ça ne fait plus mal, ça c’est bien. Jamais de ma vie, une telle envie de… Je veux du chaud tout autour ! Laure débite toute cette haletante tirade puis s’arrête, me regarde bizarrement, se redresse et ...
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