Ma colocataire (5)
Datte: 08/10/2019,
Catégories:
Lesbienne
... lui avais obéi, son visage s’éclaira. Elle s’accroupit, comme pour ramasser son mouchoir, fit remonter son doigt de ma cheville jusqu’au genou, en suivant le filet d’urine. Elle se releva, le porta à sa bouche. — Savoureux ! Et voilà comment j’ai arrosé le pavé rive droite, puis rive gauche de la Seine sous les directives éclairées de ma colocataire. Mais nous n’en avions pas encore terminé. Dans la rame de métro qui nous ramenait vers le foyer, nous étions assises face à face sur les strapontins près des portes. Les autres étaient occupés. Magalie me regardait d’un drôle d’air. Afin de préserver un semblant de pudeur, elle avait posé son sac sur ses cuisses. Tout à coup, elle fouilla dedans, en sortit ma culotte, et sans se soucier d’agir discrètement, me la montra en rigolant. Voyant ma gêne, elle en rajouta, et comme si elle venait de l’acheter, la retourna plusieurs fois pour l’examiner. Elle avait eu le temps de sécher, mais la tâche jaune de l’entrejambe me parut si démesurée que je ne voyais plus qu’elle. Magalie rangea enfin le témoin de mes turpitudes, mais le regard qu’elle me lança n’augurait rien de bon. Trois stations passèrent dans le bruit et les trépidations habituels du métro. A la fermeture des portes, ma copine, voyant que je la regardais posa son sac à terre et ouvrit ses jambes de quelques degrés pour me montrer l’effet que je lui avais fait en urinant, fesses nues, sur la voie publique : une grande zone humide marquait le fond de son slip blanc, rendant ...
... l’étoffe translucide ; je distinguais une petite bande verticale de couleur plus claire que les alentours immédiats. Mon voisin, heureusement, était plongé dans son journal. Magalie referma ses doigts sur l’ourlet de la jupe. Allait-elle aller jusqu’à écarter le tissu pour me permettre de voir ? Elle me fit languir pendant plusieurs secondes, puis reposa son sac sur ses genoux en gardant la main en dessous. Elle était parfaitement capable de semasturber dans un wagon de métro rempli de monde. J’avais la sensation qu’il faisait de plus en plus chaud. Un regard circulaire me confirma que personne n’avait rien remarqué. J’ai croisé mon index sur le majeur pour faire comprendre à Magalie ce que j’attendais d’elle. Elle me répondit en juxtaposant sesdeux doigts, puis les écartant lentement. Je fus à nouveau prise au dépourvu. Ma première pensée fut d’ordre pratique : comment allais-je m’y prendre avec ce fichu kilt et son épingle ? Il était hors de question que je refasse le même coup que sur le pont des Arts. Magalie refit le même geste avec insistance. Sans plus songer au danger d’être surprise, j’ai retroussé le plus discrètement possible mon kilt sur mes cuisses écartées à vingt degrés environ, puis j’ai soulevé le tout pendant une fraction de seconde. Seconde erreur de la journée, j’avais exécuté la manœuvre sans avoir pris la précaution de bien regarder autour de moi. Quand j’ai levé les yeux, j’ai compris que la voisine de Magalie avait tout vu, et mon cœur s’est arrêté de ...