1. Ma colocataire (5)


    Datte: 08/10/2019, Catégories: Lesbienne

    ... les jambes de Magalie. Celle-ci se comportait de façon aussi naturelle que si elle venait d’achever la lecture d’un bouquin dans ce petit square tranquille. — J’ai envie d’enlever ma culotte, dit-elle. J’arrêtai son geste. — Non, reste comme ça, je te l’ôterai quand on sera dans la chambre. — Je vois. Ma chère copine se dévergonde, dit-elle en remettant ses ballerines. Une petite grand-mère qui venait aérer son chien nous fit déguerpir. Le clébard se dirigea droit sur la flaque. Sa propriétaire bredouilla un mot d’excuse en passant à côté de nous. — Ah, je ne sais pas ce qui le démange, il me traîne toujours dans des endroits impossibles ! Je fis les derniers mètres jusqu’au foyer en restant en retrait de Magalie, guettant si une petite goutte malicieuse n’allait pas décorer le trottoir. J’ai gravi l’escalier derrière elle, les yeux fixés sur sa jambe qui n’avait pas encore séché – elle brillait dans la pénombre – et dès que nous fûmes à l’intérieur de la chambre, j’ai tiré le verrou. — Maintenant, dis-je, je vais m’occuper de toi. Je l’ai débarrassée de son sac, qui contenait entre autres ma culotte, de son chemisier et de sa minijupe puis, m’agenouillant devant elle, je lui ai fait lever chaque pied l’un après l’autre pour lui ôter ses ballerines. Je mourrais d’envie de lui arracher son slip pour goûter au mélange de fluides et d’odeurs sublimes qu’il renfermait, mais j’ai préféré me torturer encore. — Caresse-toi. Magalie glissa sa main à l’intérieur du slip. Je regardais ...
    ... ses doigts se diriger vers sa fente ; elle en introduisit un entre ses lèvres, puis deux. Elle ne tarda pas à gémir tant elle était excitée. Quand je la sentis près de jouir, je pris sa main et la retirai. Elle a à peine protesté. Je lui ai baissé alors sa culotte jusqu’à mi-cuisses. — Regarde ! L’entrejambe était tout mouillé ; quelques gouttes s’accrochaient encore à son sexe. Elle se pencha pour voir et enfonça son index jusqu’à la garde. — Goûte, tu vas aimer, murmura-t-elle en le ressortant et me le présentant. Je n’eus aucune peine à reconnaître les deux substances qu’elle avait sécrétées : l’une était visqueuse, l’autre fluide ; l’une fade, l’autre salée ; l’une sans odeur, l’autre qui commençait tout juste à sentir. En hâte, je lui ai ôté son slip, je l’ai bousculée vers le lit le plus proche. — Écarte les jambes et ouvre-toi, je vais te dévorer. Elle a obtempéré, et me jetant sur elle, j’ai aspiré ses petites lèvres encore trempées. Un gémissement me parvint en réponse. Je lui léchais le vagin, trempé lui aussi, mais de ses sécrétions. Je me délectais avec rage, me frottais le visage sur tout son bas-ventre. Magalie jouit brutalement et avec violence. Elle eut un spasme, et le cri qu’elle poussa était assez fort pour ameuter tout le foyer. Quand elle eut repris contenance, elle me lança : — Dommage que tu n’aies plus ta culotte, mais tant pis, on va faire sans. D’abord, j’ai une dette envers toi : mets-toi à quatre pattes et écarte bien les jambes. Elle me releva mon ...
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