1. un transport VIP inattendu. (2)


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... est rempli... Bien sûr, si tu le veux. — J’apprécie beaucoup, chérie, mais je crains de ne pas être en mesure de te donner tout ce que tu mérites, tout ce dont tu peux être en attente de moi. — Je sais, mon cœur : tu n’es pas amoureux de moi. Je te plais, et cela vois-tu, c’est le principal pour ne pas dire un début. Peut-être un jour m’aimeras-tu un tout petit peu... En ce qui me concerne, j’ai de l’amour pour deux. Nathalie s’était blottie dans le creux de mon bras, la tête posée sur ma poitrine, les lèvres à proximité de mon sein. Son bras gauche était posé sur mon ventre, et elle avait emprisonné ma verge pour la tenir bien au chaud dans le creux de sa main comme dans une cage, de peur sans doute qu’elle disparaisse. — Et comment envisages-tu la suite, Nathalie ? — D’abord, acceptes-tu une suite à notre conte de fée ? — Si tu le veux ; avec grand plaisir, chérie. Ce soir tu m’as fait revivre ; tu as réveillé l’homme à part entière auquel il manquait une chose. Nathalie se blottit encore plus étroitement contre moi qui étais allongé sur le dos dans ce lit témoin de nos ébats. Elle avait toujours cette main protectrice sur mon sexe, comme si elle craignait qu’un vilain lutin jaloux vienne le lui ravir, et une cuisse par-dessus les miennes. Je sentais son souffle chaud dans mon cou, et parfois un léger tressaillement dans sa main. — Tu veux, mon cœur, que nous dormions dans le même lit cette nuit ? me demanda-t-elle. — Mais bien entendu. Pourquoi ? Tu préfères dormir ...
    ... seule ? — Non, sûrement pas ! Ce que j’en disais, c’était pour toi, Adam, vu que tu es habitué à dormir seul depuis si longtemps... — Tu es sérieuse ? — Devine ? me répondit-elle en se moquant de moi. Nathalie se leva après m’avoir déposé un baiser de papillon sur les lèvres et passa dans sa chambre. — Tu vas où, chérie ? — Dans la salle de bain prendre une douche, mon amour. — Je peux venir ? — Non, surtout pas ! Je veux seulement faire une toilette avant d’aller dormir dans tes bras. Si tu viens, on va recommencer... De plus, je suis HS, et toi aussi. Il nous faut reprendre des forces pour demain... plutôt pour plus tard. Tu as vu l’heure qu’il est ? En effet, il était presque deux heures du matin. J’avais un rendez-vous téléphonique avec la compagnie à 10 heures françaises, soit 9 heures locales : il était temps que l’on arrête le « sport » et que je me repose si je voulais être en forme pour le prochain décollage. On aurait tout de même – même si on revenait à vide – quatre heures de vol. Je remontai le drap sur ma poitrine et me tournai sur le côté gauche, mon côté préféré pour dormir. Je fermais les yeux quand... — Tu dors, mon cœur ? — Je me préparais à aller rejoindre les bras de Morphée. — Il n’y a pas 24 heures que nous sommes ensemble que déjà tu me trompes ? — Alors viens vite te blottir contre moi... Nathalie était venue dans le lit sur ma gauche, là où il y avait une place. Elle était toute nue, avec pour seul vêtement un drap de bain de l’hôtel au-dessus de sa ...