1. un transport VIP inattendu. (2)


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... poitrine. Elle avait encore le corps tout humide. Çà et là quelques gouttes subsistaient, que le drap de douche n’avait pas réussi à sécher. Elle posa ses lèvres fraîches sur les miennes en un chaste baiser puis, voyant ma position ainsi que mon intention de dormir, elle s’allongea comme moi tout contre moi, m’offrant son dos et ses fesses qu’elle recouvrit du drap. Mon bras droit s’allongea, et comme par enchantement ma main vint se poser sur l’un de ses seins. Elle se rapprocha de moi en se reculant un peu, plaçant ses fesses tout contre mon sexe qui venait de se réveiller ; il alla de lui-même se placer dans la raie des fesses de ma compagne. Immédiatement, je sentis qu’il venait de passer les grandes lèvres et frappait à la porte d’entrée du vagin car je ressentais une sensation de mouillé et de visqueux. — Tu n’es donc jamais fatigué, toi ? Ce n’est pas possible ! Toutes ses années de privation ressurgissent d’un seul coup ! Je ne suis pas une machine, moi... — C’est de ta faute aussi ! — Quoi, ma faute ? Que veux-tu dire ? — Quand on est canon comme toi... Tu es une invitation permanente ! Un appel à l’amour. — Alors on va passer un marché tous les deux, si tu es d’accord. — Moi, je veux bien ; je t’écoute. — Je vais me mettre dans la bonne position. Tu la rentres, tu la mets bien au fond, et on ne bouge plus. On dort dans cette position. — Tu es sérieuse, là ? Tu y crois, toi ? — Non, me répondit-elle en riant. Elle se saisit de ma verge pour l’aider à la pénétrer. ...
    ... Un coup du bassin en arrière, et j’étais totalement en elle, mon pubis contre ses fesses. — Ne bouge pas ; tiens-toi avec tes mains sur mes hanches, et tu me laisses faire, quoi que je fasse. Je fis ce que Nathalie m’avait dit de faire ; je laissai mon ventre plaqué contre ses fesses et une main sur sa hanche. Elle se courba en avant, accentuant l’angle entre son corps et ses jambes. J’avais l’impression d’être encore plus profond en elle. Je sentis une contraction dans son vagin, puis un mouvement pendulaire de va-et-vient avec son bassin : elle me faisait l’amour en « levrette couchée ». Ma main avait quitté sa hanche et était remontée vers sa poitrine pour se saisir d’un sein. C’était bon... J’avais l’impression de me trouver dans un nuage de mousse, passant par toutes les étapes : l’impression d’arriver à l’orgasme, puis la retombée. D’un seul coup, Nathalie s’exclama : — Ça y est, mon chériii... Je viens... Ouiiii !... À ce moment-là, un fluide chaud me remonta de l’entrejambe et mon orgasme arriva comme un coup de tonnerre ; je passais le mur du son. J’entendis un « Bang ! » dans mes oreilles ; un voile noir m’obscurcit la vue et je me déversai dans Nathalie en une seule et rapide jouissance. Au bout de quelques secondes, sans se retourner, elle me dit : — Ne sors pas ; reste à l’intérieur et essaie de dormir, mon trésor. Je t’aime. — Moi aussi. Tu crois qu’elle va y rester ? Ça m’étonnerait. — Elle restera le temps qu’elle voudra, et lorsqu’elle sortira je viendrai me ...